La méthode de scalping
Alors, il faut que je vous explique ma méthode de scalping trading parce que c’est vraiment là-dessus que je base toute ma stratégie. En fait, 90% de mes trades se font sur le DAX et c’est pas un hasard.
Le DAX, c’est un marché que j’adore parce qu’il offre énormément de volatilité. Tu vois, quand t’es scalper, t’as besoin de ce mouvement, de cette énergie que le DAX dégage presque tous les jours. C’est comme si tu conduisais une voiture de course – tu veux pas te retrouver sur un chemin boueux où rien ne se passe, tu veux être sur un circuit qui te permet d’exprimer toute ta technique.
Ma méthode, elle est assez simple en apparence, mais c’est la discipline qui fait toute la différence. Je fais principalement deux types d’opérations:
- 90% de scalping classique sur le DAX
- 10% d’intrascalping (des opérations encore plus rapides)
Le scalping, pour ceux qui débutent, c’est une technique où tu prends des positions très courtes – on parle souvent de quelques minutes, parfois même quelques secondes. L’objectif, c’est de capturer des petits mouvements de prix, mais de façon très régulière.
Ce qui distingue ma méthode, c’est que je me concentre énormément sur les order blocks (OB). Ce sont des zones où les gros acteurs du marché ont placé leurs ordres, et ces zones deviennent souvent des points de rebond ou de rejet. Imaginez ça comme des zones magnétiques qui attirent ou repoussent les prix.
Je cherche également les Fair Value Gaps (FVG), qui sont des écarts de prix créés quand le marché fait un mouvement rapide. Ces zones représentent des opportunités où le prix a de fortes chances de revenir pour “combler le vide” qu’il a laissé.
Un aspect crucial de ma méthode de scalping trading, c’est la patience. Franchement, beaucoup de débutants pensent que le scalping c’est tradez tout le temps, être hyperactif. Mais c’est tout l’inverse! Plus t’apprends à attendre le setup parfait, plus tes résultats seront constants.
J’ai remarqué qu’en prop firm, cette approche disciplinée du scalping est encore plus importante. Tu joues avec l’argent de quelqu’un d’autre au début, donc tu dois être hyper rigoureux sur tes entrées et sorties. C’est pas comme sur un compte démo où tu peux faire n’importe quoi.
Et honnêtement? Ce qui a vraiment fait la différence dans mon scalping, c’est quand j’ai arrêté de chercher la perfection sur chaque trade et que j’ai commencé à penser en termes de statistiques. Quand tu comprends que c’est ton edge (ton avantage statistique) sur 100 trades qui compte, et pas juste un seul trade, là tu commences à voir le scalping trading différemment.
Les outils et timeframes utilisés
Dans mon approche du scalping trading, les timeframes et les outils sont super importants. Je travaille principalement sur des timeframes vraiment courtes, ce qui est logique vu que je fais du scalping:
- Timeframe 1 minute pour l’exécution
- Timeframe 5 minutes pour l’analyse
- Timeframe 15 minutes pour la vue d’ensemble
Beaucoup de gens me demandent: “Mais Achil, comment tu arrives à voir quelque chose de clair sur du 1 minute?” En fait, c’est justement là où beaucoup se trompent. Je n’utilise pas QUE le 1 minute. C’est comme si tu conduisais uniquement en regardant juste devant ton capot – tu te planterais direct dans le premier virage!
Mon approche, c’est d’abord de comprendre le contexte global sur le 15 minutes. C’est ma carte routière qui me dit où sont les grandes zones de support, résistance, order blocks importantes. Ensuite, je descends sur le 5 minutes pour affiner mon analyse et identifier des opportunités plus précises.
Le 1 minute, je l’utilise uniquement pour l’exécution, pour trouver le meilleur point d’entrée une fois que j’ai déjà identifié une opportunité sur les timeframes supérieurs. C’est cette approche multi-timeframes qui fait la différence dans mon scalping.
Côté outils, je reste très minimaliste. Franchement, quand tu vois certains traders avec 15 indicateurs sur leur écran, c’est le bordel total! Moi, je préfère garder ça simple:
- Un graphique en chandeliers japonais propre
- Des zones d’order blocks que je trace manuellement
- Une identification des FVG (Fair Value Gaps)
- Quelques lignes de support et résistance clés
J’utilise pas d’indicateurs complexes. Pas de RSI, pas de MACD, pas de stochastiques. Pourquoi? Parce que dans le scalping trading, ces indicateurs sont souvent en retard sur le prix. Et quand tu fais du scalping, tu peux pas te permettre d’être en retard, même de quelques secondes.
Une chose que beaucoup négligent dans leur setup, c’est l’organisation de l’espace de travail. Moi, j’ai un écran dédié juste aux graphiques, avec mes différentes timeframes bien organisées. Un autre écran pour suivre les actualités économiques qui pourraient impacter le DAX. C’est fou comme un espace de travail bien organisé peut améliorer ta performance en scalping trading!
Pour les plateformes, je travaille principalement avec:
- TradingView pour l’analyse technique
- MT4/MT5 pour l’exécution des ordres avec les prop firms
En résumé, mes outils pour le scalping sont simples mais efficaces. Je préfère maîtriser parfaitement quelques outils plutôt que d’en utiliser 50 à moitié. C’est comme un bon cuisinier qui préfère avoir trois couteaux parfaitement aiguisés plutôt que 20 couteaux émoussés.
La gestion du risque
Alors la gestion du risque, c’est vraiment le cœur de tout ce que je fais en scalping trading. Sans ça, tu peux avoir la meilleure stratégie du monde, les meilleurs setups, si tu gères pas ton risque correctement, tu vas te planter. C’est comme ça, point final.
Dans mon approche, j’applique des règles très strictes:
- Jamais plus de 1% de risque par trade
- Maximum 2-3% de risque cumulé sur tous mes trades ouverts
- Stop-loss systématique, jamais négociable
- Ratio rendement/risque minimum de 1:1, idéalement 1.5:1
Tu vois, quand je travaille avec les prop firms, c’est encore