Analyse technique Forex : Ma méthode pour trader le GBP/JPY

Stratégie de trading personnelle

Bon, alors je vais vous dévoiler comment je travaille sur mes analyses graphiques, et croyez-moi, c’est pas du tout ce qu’on vous vend dans les formations à deux balles. Tu vois, l’analyse technique Forex c’est pas juste tracer des lignes partout et attendre que ça marche. Non non, c’est beaucoup plus subtil que ça.

En fait, ce que j’ai compris après des années à me casser les dents sur le marché, c’est que ta stratégie elle doit te ressembler. Moi j’ai développé une approche qui mixe l’identification des zones clés, l’analyse des structures de marché et surtout, surtout, une gestion du risque béton. Parce que franchement, sans ça, tu peux avoir la meilleure stratégie du monde, tu vas quand même te faire rincer.

Identification des zones clés sur le graphique

Alors déjà, quand j’ouvre un graphique, la première chose que je fais, c’est pas de chercher des patterns ou des figures chartistes. Non. Je commence toujours par identifier mes zones clés de support et résistance. Et attention hein, je parle pas de tracer une ligne à chaque petit rebond du prix.

Ce que je cherche, c’est les zones qui ont vraiment du sens. Tu vois, ces endroits où le prix il vient taper plusieurs fois, où il y a eu de vrais rejets avec du volume. Sur le trading forex, et particulièrement sur des paires comme le GBP/JPY, ces zones elles sont cruciales parce que c’est là où les institutionnels ils placent leurs ordres.

Du coup, ma méthode c’est simple : je remonte dans l’historique, je cherche les zones où le prix a réagi au moins trois fois. Pas deux, trois minimum. Et je regarde comment il a réagi. Est-ce que c’était violent ? Est-ce qu’il a juste effleuré et il est reparti ? Tout ça, ça me donne des infos sur la force de la zone.

Analyse de la tendance et des mouvements de prix

Bon, une fois que j’ai mes zones, là je passe à l’analyse de la tendance prix. Et franchement, c’est là que beaucoup se plantent. Ils voient une tendance haussière sur le H4 et ils achètent direct. Mais non ! Il faut comprendre le contexte global.

Moi je travaille toujours en multi-timeframes. Je commence par le weekly pour voir la tendance de fond, puis je descends progressivement. Sur mon analyse graphique, je cherche les break of structure, les changements de caractère du marché. Tu sais, ces moments où le prix il te dit “ok, maintenant on change de direction”.

Ce que je regarde particulièrement, c’est la façon dont le prix il se déplace. Est-ce que c’est impulsif ? Est-ce que c’est correctif ? Parce que tu vois, un mouvement impulsif suivi d’une correction, bah ça c’est souvent un bon setup pour rentrer dans le sens de la tendance principale.

  • Analyse multi-timeframes du weekly au M15
  • Identification des break of structure
  • Distinction entre mouvements impulsifs et correctifs
  • Recherche des changements de caractère du marché

Utilisation des bougies japonaises

Alors les bougies japonaises, c’est mon outil préféré pour confirmer mes entrées. Mais attention, je parle pas de chercher des marteaux ou des étoiles filantes partout. Non, ce qui m’intéresse c’est le story-telling des bougies.

Quand j’arrive sur une de mes zones clés, je zoome sur les petites unités de temps et je regarde comment les bougies elles se comportent. Est-ce qu’on a des mèches qui montrent du rejet ? Est-ce qu’on a des bougies d’engloutissement ? Tout ça, ça me raconte une histoire sur ce qui se passe vraiment dans le marché.

Sur le Forex, et particulièrement dans mon analyse technique, j’accorde beaucoup d’importance aux bougies de retournement sur les niveaux clés. Une belle pin bar sur un support majeur avec du volume, bah ça, c’est du caviar pour un trader. Mais encore une fois, jamais je prends une bougie toute seule. C’est toujours dans le contexte global.

Configuration des trades

Bon alors maintenant, comment je configure mes trades concrètement ? Déjà, je trade jamais sans avoir mes trois éléments : une zone clé, une confirmation par les bougies, et un contexte de tendance favorable. Si il me manque un des trois, je passe mon tour.

Pour les signaux trading, ma règle c’est simple : j’entre toujours après une confirmation. Jamais en anticipation. Oui, je rate parfois le début du mouvement, mais au moins je limite les faux signaux. Mon stop loss, il est toujours placé derrière la structure qui invalide mon scénario. Pas un stop arbitraire à 20 pips, non, un stop qui a du sens techniquement.

Et pour les take profit, là je suis peut-être un peu old school, mais je travaille toujours avec des ratios minimum de 1:2. Sur le GBP/JPY par exemple, avec sa volatilité, c’est facilement atteignable si tu sais lire le marché correctement.

Gestion du risque

Alors là, on arrive sur LE truc le plus important. La gestion risque. Tu peux avoir la meilleure stratégie du monde, si tu gères pas ton risque, tu vas te faire démonter. C’est mathématique.

Moi, ma règle d’or c’est : jamais plus de 1% de mon capital par trade. Et franchement, quand je suis pas sûr, je descends à 0.5%. Parce que tu vois, c’est pas le trade que tu vas faire qui va te rendre riche, c’est la constance sur le long terme.

Ce que beaucoup comprennent pas, c’est que la gestion du risque c’est pas juste le stop loss. C’est aussi savoir quand pas trader. Moi, si j’ai déjà deux trades ouverts, j’en prends pas de troisième. Même si je vois le setup du siècle. Pourquoi ? Parce que la corrélation entre les paires peut te faire très mal si le marché se retourne.

Et puis franchement,

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