Analyse du Trade Gagnant
Alors voilà, ce trade à 61 500$, c’est pas tombé du ciel hein. Ce jour-là, j’ai appliqué ma stratégie trading à la lettre, et franchement, c’est ça qui a fait toute la différence. Tu vois, beaucoup pensent que c’est de la chance, mais en fait non. C’est juste de la préparation, de la patience, et surtout, du respect du plan.
Ce que je veux dire, c’est que ce trade, il s’est construit sur plusieurs heures d’observation. J’ai pas sauté sur la première opportunité venue. Non non, j’ai attendu que toutes les conditions soient réunies. Et ça, c’est vraiment la base du day trading profitable : savoir attendre le bon moment.
Setup du Trade
Bon alors, le setup trading ce jour-là, c’était du caviar. J’avais une confluence parfaite entre plusieurs éléments techniques. D’abord, on était sur un niveau de liquidité majeur qui avait été testé trois fois dans la journée. Tu sais, ces zones où tout le monde a ses stops, où la bataille entre acheteurs et vendeurs fait rage.
En fait, ce qui m’a vraiment mis la puce à l’oreille, c’est le comportement du volume. Il y avait cette accumulation discrète, tu vois, comme quand les gros acteurs préparent leur coup en silence. Mon analyse technique montrait clairement une compression de la volatilité, et ça, c’est souvent le calme avant la tempête.
Le contexte macro était aussi favorable : on avait des news importantes qui devaient sortir, et le marché était en mode “wait and see”. Donc voilà, j’avais mon OB (order block) bien identifié, ma zone de liquidité marquée, et surtout, une structure de marché qui criait “opportunité”. Franchement, c’était le genre de configuration que tu vois peut-être une fois par mois si t’es attentif.
Points d’Entrée et de Sortie
Alors l’entrée, attention hein, c’était pas du pifomètre. J’ai attendu mon signal de confirmation : un break of structure clair sur le timeframe 5 minutes, avec un retest propre de la zone. Pour du day trading profitable, faut jamais entrer sur une impulsion émotionnelle, jamais.
Mon point d’entrée exact, c’était à 14 235 points sur l’indice. Pourquoi là précisément ? Parce que c’était pile sur le retracement de Fibonacci à 61.8% de la dernière jambe haussière, ET en confluence avec mon order block. Double confirmation, tu vois. C’est ce genre de précision qui fait la différence entre un trade moyen et un trade exceptionnel.
Pour la sortie, j’avais trois targets. Le premier TP à +150 points pour sécuriser 30% de la position – toujours sécuriser, c’est la règle numéro un. Le deuxième à +350 points où j’ai sorti encore 40%. Et le dernier, le jackpot, à +780 points où j’ai laissé courir les 30% restants. Au final, avec l’effet de levier et la taille de position calculée selon ma gestion du risque, ça a donné ce résultat de 61 500$.
Ce qui est crucial, et je peux pas assez le répéter, c’est que j’avais ces niveaux AVANT d’entrer en position. Pas de “on verra bien”, pas d’improvisation. La psychologie trading, elle se travaille aussi dans la préparation, pas juste pendant le trade.
Gestion du Risque
Bon alors là, on entre dans le vif du sujet. La gestion du risque, c’est vraiment ce qui sépare les traders qui durent de ceux qui explosent leur compte en trois mois. Et sur ce trade à 61 500$, c’est justement parce que j’ai respecté mes règles à la lettre que j’ai pu laisser courir les gains.
Tu vois, beaucoup de gens me demandent “mais comment t’as fait pour tenir aussi longtemps dans le trade ?”. Bah en fait, c’est simple : quand ton risk management est béton, tu peux te permettre d’être patient. T’as pas cette pression de “faut que je sorte maintenant sinon je vais tout perdre”. Non, t’es serein parce que tu sais exactement ce que tu risques.
Stop Loss et Take Profit
Mon stop loss initial, il était à -120 points de mon entrée. Pourquoi 120 ? Parce que c’était juste en dessous de la structure majeure du marché. Si on cassait ce niveau, ça voulait dire que mon analyse technique était fausse, point barre. Pas de “ah mais peut-être que”, non. Faux = on sort, on accepte la perte, on passe au trade suivant.
Ce qui est important, c’est que ce stop représentait exactement 2% de mon capital total. C’est ma règle d’or : jamais plus de 2% de risque par trade, même sur les setups les plus parfaits. Donc concrètement, si le trade partait contre moi, je perdais maximum 3 800$. C’est gérable, c’est acceptable, et surtout, ça me permet de dormir la nuit.
Pour les take profits, j’utilise toujours une approche échelonnée. Premier TP : on rembourse le risque initial. Une fois que t’as sorti assez pour couvrir ta perte potentielle, psychologiquement, t’es libéré. Le reste, c’est du bonus. Deuxième TP : on sécurise les gains. Troisième TP : on laisse courir avec un trailing stop pour capturer le maximum du mouvement.
Et franchement, cette méthode, elle m’a sauvé tellement de fois. Combien de trades j’ai vu revenir à zéro parce que j’étais trop gourmand au début ? Maintenant, avec cette stratégie trading de sortie progressive, même si le marché retourne, j’ai déjà banké une partie des gains.
Taille de Position
Alors la taille de position, c’est LE truc que tout le monde néglige et qui fait exploser les comptes. Sur ce trade, j’ai mis gros, c’est vrai. Mais “gros”, c’était calculé au millimètre près selon ma méthode de sizing.
Ma formule, elle est simple : (Capital × Risque%) / (Distance au Stop en points × Valeur du point). Donc avec un capital de 190 000$, un risque de 2%, et un stop à 120 points, ça me donnait ma taille exacte. Pas d’approximation, pas de “à peu près”, du calcul pur et dur.
Ce jour-là, vu la qualité du setup et ma confiance dans l’analyse, j’ai légèrement augmenté ma taille habituelle – mais toujours dans mes limites de risque. Au lieu de mes 2% habituels, j’étais à 2.5%. C’est rare que je fasse ça, peut-être trois ou quatre fois par an, quand vraiment toutes les