Performance Mensuelle de Juillet
Bon, alors juillet 2024… Franchement, c’est le mois où tout s’est aligné. 45 000 dollars de profit net, mais attention hein, c’est pas tombé du ciel. Ce que je veux dire c’est que derrière ces chiffres, y’a une stratégie trading qui a été peaufinée pendant des mois, voire des années. Tu vois, le DayTrading profitable, c’est pas juste une question de chance ou de gros coups. C’est de la constance, encore et toujours.
Analyse des Trades Gagnants
Alors, qu’est-ce qui a vraiment marché ce mois-ci ? Déjà, sur mes 124 trades de juillet, j’ai eu un taux de réussite de 68%. Mais le truc crucial, c’est que mes winners ont rapporté en moyenne 2,8 fois plus que mes losers. Tu vois où je veux en venir ?
Les setups qui ont le mieux fonctionné, c’était clairement les break of structure sur les paires majeures. L’EUR/USD notamment, avec cette volatilité de malade après les annonces de la BCE… Bah voilà, j’ai chopé trois trades à plus de 3R sur cette config. Ce que les gens captent pas toujours, c’est que c’est pas le nombre de trades qui compte. C’est la qualité de ton analyse technique et surtout, surtout, ta capacité à attendre le bon moment.
Un exemple concret ? Le 15 juillet, sur le Gold. J’ai vu une liquidité énorme au-dessus des 2430$. Les retail traders, ils voyaient tous un breakout haussier. Moi, j’ai attendu le sweep, et hop, short directement avec un TP à 2410$. Résultat : 4R en moins de 3 heures. C’est ça la différence entre subir le marché et comprendre où se cache la vraie liquidité.
Gestion des Pertes et Risk Management
Maintenant, parlons du truc que personne veut entendre mais qui fait toute la différence : la gestion du risque. En juillet, j’ai eu 40 trades perdants. Oui, 40. Et tu sais quoi ? C’est parfaitement normal.
Ma règle d’or, celle qui m’a permis de rester profitable en DayTrading, c’est simple : jamais plus de 1% de risque par trade. Point. Non négociable. Du coup, même avec mes pires journées à -3%, je restais dans le game. Tu vois, beaucoup pensent que le risk management c’est chiant, que ça limite les gains… Mais franchement, c’est l’inverse. C’est ce qui te permet de survivre assez longtemps pour profiter des vraies opportunités.
- Maximum 1% de risque par position
- Stop loss systématique avant l’entrée
- Ratio risque/récompense minimum de 1:2
- Limite de 3% de perte maximale par jour
- Réduction de la taille après 2 pertes consécutives
Le 22 juillet, j’ai pris 5 stops d’affilée. L’ancien moi aurait pété un câble, aurait doublé les positions pour “se refaire”. Mais non. J’ai coupé les écrans, je suis parti marcher. Le lendemain, tête froide, j’ai récupéré ces pertes en deux trades propres. C’est ça la vraie psychologie trading dont personne parle.
Outils et Indicateurs Utilisés
Bon alors, les outils… Les gens adorent ça, ils pensent que c’est le Saint Graal. Spoiler alert : c’est pas les indicateurs qui font le trader. Mais ouais, j’utilise quelques trucs qui m’aident dans mon analyse technique.
D’abord, le Volume Profile. C’est mon bébé. Ça me montre où se concentre l’activité, où sont les vrais niveaux de support et résistance. Pas les lignes arbitraires que tout le monde trace, non. Les vraies zones où l’argent s’est échangé.
Ensuite, j’ai mes Order Blocks custom. C’est un indicateur que j’ai codé moi-même sur TradingView. Il me repère automatiquement les zones où les institutionnels ont laissé leurs traces. Couplé avec les Fair Value Gaps, ça me donne une carte assez précise de où le prix va probablement réagir.
Et puis voilà, les EMAs classiques (9, 21, 50) pour le contexte de tendance. Simple, basique, mais efficace quand tu sais les lire dans le bon contexte. Ce que je veux dire, c’est que c’est pas l’outil qui fait la performance trading, c’est comment tu l’utilises.
Configuration Technique Privilégiée
Ma config préférée de juillet ? Sans hésiter, le “liquidity sweep into Order Block”. C’est du caviar quand c’est bien exécuté. Le principe est simple mais diablement efficace.
Tu identifies d’abord une zone de liquidité évidente – tu sais, ces niveaux où tous les stops des retail sont posés. Ensuite, tu attends que le prix vienne chercher cette liquidité. Mais attention, c’est pas fini ! Le vrai signal, c’est quand le prix revient tester un Order Block juste en dessous (pour un long) ou au-dessus (pour un short).
Exemple parfait : le 28 juillet sur l’US30. Tout le monde voyait une résistance à 35,500. Les stops sells étaient empilés juste au-dessus. Le prix monte, casse le niveau, déclenche tous les stops… et BAM, retour violent dans mon OB à 35,450. Entry, stop serré à 20 points, TP à 150 points. Du 1:7.5 en moins d’une heure. C’est ça la beauté d’une stratégie trading bien rodée.
Mais encore une fois, c’est pas magique. Cette config, je l’ai backtestée sur 500+ trades. Je connais son taux de réussite (62%), son ratio moyen (1:3.2), et surtout, dans quelles conditions de marché elle fonctionne le mieux. C’est ça le vrai travail du trading profitable.
Leçons et Points Clés
Franchement, si je devais résumer ce qui fait vraiment la différence entre un mois à 45k$ et un mois dans le rouge, c’est pas la technique. La technique, tu peux l’apprendre. C’est tout