Fondamentaux de la stratégie
Alors voilà, la ICT Trading Strategy, c’est pas juste une énième méthode pour faire du pognon rapide, hein. Non, là on parle de comprendre comment les gros bonnets du trading institutionnel bougent leurs milliards et comment on peut surfer sur leur vague. Tu vois, j’ai galéré pendant des années à chercher le Saint Graal avant de percuter que tout était sous mes yeux.
Ce qu’il faut bien capter, c’est que cette approche, elle te demande de changer complètement ta façon de voir les marchés. Fini de regarder les indicateurs à la con qui te font acheter quand les institutionnels vendent. Là, on va décortiquer leurs mouvements, comprendre leur logique, et surtout, apprendre à penser comme eux.
Analyse des niveaux ICT
Bon, les niveaux de prix ICT, c’est vraiment le cœur du réacteur. J’me souviens, quand j’ai découvert les Order Blocks, les Fair Value Gaps, tout ça… franchement, ça a été le déclic. Tu vois ces zones sur ton graphique où le prix réagit systématiquement ? Bah c’est pas du hasard, c’est là que les institutionnels ont laissé leurs empreintes.
Un Order Block, pour faire simple, c’est cette zone où les gros ont accumulé leurs positions avant un mouvement violent. Et nous, petits retailers, on arrive après la bataille en se demandant pourquoi le prix rebondit pile à cet endroit. En fait, c’est logique : les institutionnels protègent leurs positions, ils ont intérêt à ce que le prix revienne tester ces zones pour compléter leurs ordres.
- Les Order Blocks : zones d’accumulation institutionnelle avant impulsion
- Les Fair Value Gaps : déséquilibres de marché à combler
- Les Liquidity Pools : zones où se concentrent les stops des retailers
- Les Breaker Blocks : anciens supports/résistances inversés
Ce que j’ai appris à mes dépens, c’est que ces niveaux, ils fonctionnent pas comme des supports/résistances classiques. Non, là on parle de zones magnétiques où la liquidité s’accumule. Les institutionnels, ils ont besoin de cette liquidité pour entrer et sortir de leurs positions massives sans faire exploser le spread.
Du coup, quand tu identifies un Order Block valide, tu regardes pas juste si le prix va rebondir dessus. Tu analyses le contexte : est-ce qu’on a pris la liquidité au-dessus ? Est-ce qu’on a un déséquilibre à combler ? C’est cette approche multi-dimensionnelle qui fait toute la différence dans la ICT Trading Strategy.
Identification des configurations de trading
Alors là, attention, c’est pas du pattern trading à la papa où tu cherches des triangles et des drapeaux. Les setups ICT, c’est une autre dimension. Moi, j’ai mis des mois à vraiment les maîtriser, et encore aujourd’hui, je continue d’apprendre des subtilités.
Le setup de base que tout le monde devrait connaître, c’est le “Market Structure Shift”. En gros, tu identifies quand le marché change de direction en cassant une structure importante. Mais attention hein, c’est pas juste “ça casse donc j’achète”. Non, tu attends le retour sur un Order Block ou dans un Fair Value Gap pour entrer avec les institutionnels, pas contre eux.
Un truc qui m’a vraiment fait progresser dans le trading institutionnel, c’est de comprendre le concept de “Judas Swing”. Tu vois, avant chaque gros mouvement, les institutionnels vont chercher la liquidité dans la direction opposée. Combien de fois j’me suis fait avoir avant de capter ça ! Le marché monte, tout le monde est bullish, et PAF, ils viennent chercher les stops en dessous avant de vraiment partir à la hausse.
- AMD (Accumulation, Manipulation, Distribution) : le cycle complet d’un mouvement institutionnel
- Power of 3 : accumulation en Asie, manipulation à Londres, distribution à New York
- Kill Zones : les créneaux horaires où les mouvements institutionnels sont les plus probables
- Silver Bullet : setup spécifique entre 10h et 11h (heure de New York)
Ce qui est fou avec ces configurations, c’est qu’elles se répètent encore et encore. Pas parce que c’est magique, mais parce que les institutionnels suivent des protocoles, des algorithmes. Ils peuvent pas bouger des milliards n’importe comment. Du coup, une fois que t’as compris leur logique, tu commences à voir le marché différemment.
Franchement, le jour où j’ai commencé à trader uniquement pendant les Kill Zones avec des setups AMD bien identifiés, ma win rate a explosé. Mais attention, c’est pas une formule magique. Il faut de la pratique, beaucoup de backtesting, et surtout, accepter que parfois le setup parfait se transforme en perte. C’est le jeu.
Gestion du risque
Bon, là on rentre dans le vif du sujet, et crois-moi, c’est LA partie que 90% des traders négligent. La gestion du risque dans l’approche ICT, c’est pas juste mettre un stop loss et croiser les doigts. Non, c’est une science précise qui s’aligne avec la logique institutionnelle.
Déjà, premier truc : ton stop loss, tu le places pas n’importe où. Tu le mets derrière une structure qui invaliderait ton scénario. Si t’es en achat sur un Order Block bullish, ton stop va sous le low qui a créé cet OB. Logique non ? Si ce niveau cède, c’est que les institutionnels ont changé leurs plans, et toi tu dégages.
Ce que j’ai appris à la dure, c’est que le risk/reward, c’est pas négociable. Minimum 1:2, idéalement 1:3 ou plus. Pourquoi ? Parce que même avec 40% de win rate, tu restes profitable. Les maths, ça ment pas. Moi au début, je prenais des trades à 1:1 en me disant “c’est mieux que rien”. Résultat ? Mon compte fondait comme neige au soleil même en gagnant la moitié de mes trades.
La taille de position, parlons-en. Dans la