Stratégies essentielles
Bon, alors là, on attaque le cœur du sujet. La maximisation des profits en trading, c’est pas juste une question de trouver le bon point d’entrée, hein. Non, le vrai game, c’est ce que tu fais après être entré en position. Et franchement, c’est là que 90% des traders se plantent.
Gestion des positions gagnantes
Tu vois, ce qui m’énerve, c’est quand je vois des gars qui coupent leurs trades à +10 pips alors que le marché leur offrait +100. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur. La gestion position, c’est un art, et très peu de traders le maîtrisent vraiment.
Le truc, c’est que quand t’es en profit, ton cerveau te joue des tours. Il te dit : “Prends tes gains maintenant, et si ça retourne ?” Bah oui, et si ça continue ? C’est là que la discipline entre en jeu. Moi, j’ai mis des années à comprendre qu’un trade gagnant, c’est comme une voiture lancée sur l’autoroute : tant qu’elle roule dans la bonne direction, pourquoi freiner ?
Concrètement, voici ce que je fais maintenant :
- Je définis toujours mon invalidation avant d’entrer
- Je laisse respirer mes trades avec un stop loss adapté
- Je ne touche jamais à mon TP initial sans raison technique valide
- J’accepte les pullbacks comme partie intégrante du mouvement
Ce qu’il faut comprendre, c’est que le risk management ne s’arrête pas à l’entrée. Il continue pendant toute la durée du trade. Et ça, c’est fondamental pour la maximisation profits trading.
Techniques de scaling
Alors le scaling, c’est mon arme secrète depuis 3 ans. En fait, c’est simple : au lieu de tout miser d’un coup, tu construis ta position progressivement. C’est comme monter un escalier, tu vois, marche par marche.
Je vais te donner un exemple concret. La semaine dernière, j’ai pris EUR/USD en long. Au lieu de rentrer avec 1% direct, j’ai fait comme ça :
- 0.3% sur le premier signal de retournement
- 0.3% après confirmation du break of structure
- 0.4% quand on a cassé la résistance majeure
Résultat ? Mon prix moyen d’entrée était meilleur que si j’étais rentré full size au début. Et psychologiquement, c’est beaucoup plus gérable. Tu ressens moins la pression quand le marché respire contre toi.
Mais attention hein, le scaling c’est pas pour les débutants. Il faut vraiment maîtriser sa gestion position et avoir une lecture du marché solide. Sinon, tu vas juste pyramider tes pertes, et là, aïe…
Ce que je dis toujours à mes élèves : “Le scaling, c’est comme le turbo sur une voiture. Si tu sais pas conduire, ça va juste t’envoyer dans le mur plus vite.”
Gestion du risque
Bon, là on touche au sacré. Le risk management, c’est littéralement ce qui fait la différence entre un trader qui survit et un trader qui explose son compte tous les 3 mois.
Tu sais quoi ? J’ai cramé 3 comptes avant de vraiment comprendre ça. Trois ! Et à chaque fois, c’était pas le marché le problème, c’était moi. Ma gestion du risque était catastrophique.
Aujourd’hui, mes règles sont gravées dans le marbre :
- Jamais plus de 1% de risque par trade (et encore, c’est mon maximum)
- Ratio risque/récompense minimum de 1:2 (sinon je rentre pas)
- Maximum 3 positions ouvertes simultanément (la concentration, c’est clé)
- Drawdown max de 6% avant pause obligatoire (pour éviter le tilt)
Ce qu’il faut comprendre, c’est que la maximisation profits trading, ça passe d’abord par la préservation du capital. Tu peux pas maximiser si t’as plus rien à trader, logique non ?
Et puis, avec une bonne gestion du risque, tu dors mieux. Franchement, y’a rien de pire que de checker son téléphone toutes les 5 minutes parce que t’es overexposé sur le marché. J’ai fait ça pendant des années, c’est l’enfer.
Le risk management, combiné avec le scaling et une bonne gestion position, c’est vraiment le trio gagnant. Mais encore faut-il avoir la discipline de l’appliquer, et ça, c’est une autre histoire…