Price Action Trading : Les Patterns Bancaires Expliqués

Fondamentaux du Trading Bancaire

Alors voilà, ce que les gens captent pas toujours avec le price action trading, c’est que les banques, elles jouent pas comme nous. Tu vois, elles ont des contraintes, des volumes énormes à placer, et du coup, elles laissent des traces. C’est ça qu’on va décortiquer ensemble.

Franchement, quand j’ai commencé à comprendre comment les institutions fonctionnaient, ça a changé ma façon de trader. Parce que tu vois, c’est pas juste des lignes sur un graphique. C’est comprendre où la liquidité se trouve, où les gros acteurs vont chercher leurs ordres. Et ça, c’est la base des patterns bancaires qu’on va voir.

Analyse des Niveaux de Support et Résistance

Bon, les support et résistance, c’est vraiment le B.A.-BA du price action. Mais attention hein, je parle pas des petits niveaux que tout le monde voit. Je te parle des zones majeures, celles où les banques accumulent ou distribuent.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que ces niveaux, c’est pas magique. C’est juste là où y’a eu tellement de volume dans le passé que ça devient une référence pour tout le monde. Tu vois un support qui tient 3-4 fois ? Bah c’est pas un hasard. C’est que les institutions défendent cette zone.

Moi, ce que je fais, c’est que je regarde toujours le volume. Un niveau sans volume, c’est du vent. Mais quand tu vois une accumulation de volume sur une zone précise, là tu sais que les gros sont dans le coup. Et le price action trading, c’est exactement ça : suivre les traces des gros volumes.

  • Identifier les zones de fort volume historique
  • Valider avec les réactions répétées du prix
  • Observer l’accumulation ou la distribution institutionnelle
  • Privilégier les timeframes supérieures (H4, Daily)

Un truc que j’ai appris avec le temps, c’est que les banques, elles testent souvent ces niveaux avant de les casser. C’est ce qu’on appelle le “stop hunt”. Elles vont chercher la liquidité juste en dessous du support ou au-dessus de la résistance. Donc si tu vois un faux breakout, reste vigilant, c’est souvent le signal qu’un mouvement plus important se prépare.

Identification des Patterns de Retournement

Alors là, on rentre dans le vif du sujet. Les patterns de retournement, c’est mon dada. Parce que c’est là où tu peux vraiment capter les mouvements institutionnels. Le double top, le head and shoulders, c’est pas juste des jolis dessins sur ton graphique.

Ce que beaucoup comprennent pas, c’est que ces patterns, ils se forment pas par hasard. Prends le double top par exemple. La première fois que le prix monte, c’est souvent le retail qui achète. La deuxième fois ? C’est les banques qui distribuent. Tu vois la nuance ? C’est pour ça que le deuxième sommet est souvent légèrement plus bas ou avec moins de volume.

Le head and shoulders, c’est encore plus vicieux. Les institutions, elles construisent ce pattern sur plusieurs semaines parfois. L’épaule gauche, c’est l’accumulation discrète. La tête, c’est pour attirer les derniers acheteurs. Et l’épaule droite ? C’est la distribution finale avant la chute.

  • Double Top/Bottom : Volume décroissant sur le second test
  • Head and Shoulders : Formation sur minimum 20-30 bougies
  • Triangles de trading : Compression du range avant explosion
  • Faux breakouts répétés : Signal de manipulation institutionnelle

Mais attention, ces patterns, faut pas les trader à l’aveugle. Moi j’ai fait cette erreur au début, je voyais un double top et hop, je shortais direct. Grosse erreur ! Faut attendre la confirmation. Le break de la neckline avec volume, c’est ça ton signal. Avant ça, t’es juste en train de deviner.

Et puis franchement, la gestion du risque sur ces patterns, c’est crucial. Parce que quand ça foire, ça peut faire mal. Donc toujours, toujours, ton stop au-dessus du pattern. Pas de négociation là-dessus.

Gestion du Risque dans le Trading Bancaire

Bon, là on touche au point le plus important. La gestion du risque, c’est ce qui fait la différence entre un trader qui survit et un trader qui explose son compte. Et crois-moi, j’ai vu des mecs brillants techniquement qui ont tout perdu parce qu’ils géraient mal leur risque.

Les banques, elles, elles jouent pas avec ça. Leur risk management, c’est militaire. Chaque position a son stop, son sizing calculé au millimètre. Et nous, on devrait faire pareil. Le price action trading sans gestion du risque, c’est comme conduire les yeux fermés.

Ce que je dis toujours à mes élèves, c’est : “Maximum 2% de risque par trade”. C’est non négociable. Tu peux être sûr à 99% de ton analyse, tu risques jamais plus. Parce que ce 1% de fois où tu te trompes, si t’as risqué 10%, bah tu pleures.

  • Risque maximum : 1-2% du capital par position
  • Ratio risk/reward minimum : 1:2
  • Stop loss placé derrière les zones de liquidité
  • Scaling progressif sur les positions gagnantes
  • Jamais de moyennage à la baisse sur les patterns bancaires

Un truc que j’ai appris en observant le comportement institutionnel, c’est qu’ils fractionnent

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