Stratégie de redémarrage après une perte totale
Bon, on va être cash : perdre tout son capital, c’est violent. J’y suis passé, plusieurs fois même, et franchement, c’est là que tu vois qui est vraiment fait pour le trading. Parce que c’est pas le moment où tu gagnes qui définit ton niveau, c’est comment tu te relèves après avoir tout cramé. La reconstruction portefeuille trading, c’est pas juste une question de technique, c’est d’abord une question de mental et de méthode.
Ce que les gens comprennent pas, c’est que repartir de zéro, c’est presque une chance. Tu vois, t’as plus les mauvaises habitudes, plus les positions pourries que tu gardes par ego. T’es obligé de revenir aux fondamentaux, et ça, crois-moi, c’est exactement ce qu’il te faut. Le options trading, c’est ton meilleur allié dans cette phase, mais attention hein, pas n’importe comment.
Analyse du marché des options
Alors déjà, premier truc à comprendre : le marché des options, c’est pas le casino que tout le monde imagine. C’est un outil de levier financier ultra-puissant si tu sais ce que tu fais. Moi, quand je redémarre un compte, je me concentre uniquement là-dessus. Pourquoi ? Parce qu’avec 500 ou 1000 euros, tu peux pas te permettre de trader des actions cash. Les options, ça te permet de contrôler des positions bien plus grosses avec un capital limité.
Le truc, c’est de pas tomber dans le piège des options OTM à 0,01€ en espérant le jackpot. Non, non, non. On cherche des options avec du delta, du volume, de la liquidité. Tu vois, c’est comme reconstruire une maison : tu commences pas par le toit, tu poses d’abord des fondations solides.
Identification des opportunités sur les options
Franchement, identifier les bonnes opportunités sur les options, c’est 80% d’observation et 20% d’exécution. Ce que je fais, c’est que je scanne d’abord les implied volatility. Quand l’IV est élevée sans raison apparente, bah là, y’a souvent un move qui se prépare. Les earnings, les annonces FDA pour les biotechs, les décisions de la Fed… Voilà tes catalyseurs.
Mais attention, le piège classique c’est de chasser toutes les opportunités. Non. Tu vois, dans ma stratégie de trading, je me limite à 3-4 setups maximum par semaine. Pourquoi ? Parce que la qualité prime toujours sur la quantité, surtout quand tu reconstruis.
- Scanner quotidiennement les unusual options activity
- Vérifier le ratio put/call pour sentir le sentiment du marché
- Analyser les open interest sur les strikes clés
- Surveiller les dark pools pour anticiper les gros mouvements
Sélection des actions à fort levier
Alors là, on rentre dans du concret. Les actions à fort levier pour les options, c’est pas forcément les plus volatiles. C’est celles qui ont le meilleur rapport risque/récompense. Moi, je privilégie toujours les large caps avec des options liquides : AAPL, TSLA, NVDA, SPY… Tu sais pourquoi ? Parce que tu peux entrer et sortir sans te faire massacrer sur le spread.
Le levier financier des options, c’est une arme à double tranchant. Sur une action comme TSLA qui bouge de 5%, ton option peut faire +50% ou -50%. Donc la gestion du risque, c’est vital. Je prends jamais une position qui représente plus de 1% de mon capital total. Jamais. C’est ma règle d’or.
Méthodologie de trading
Bon, maintenant qu’on a les bases, parlons méthodo. Parce que c’est bien beau d’identifier des trades, mais si t’as pas un process carré, tu vas juste reproduire les mêmes erreurs. Ma méthodologie pour la reconstruction portefeuille trading, elle est simple mais stricte.
Gestion stricte du capital
La règle du 1%, c’est non négociable. Tu vois, beaucoup me disent “mais avec 1% je vais jamais faire grossir mon compte”. Bah si. Parce que sur les options, 1% de risque peut te donner 5 à 10% de gain. Le truc, c’est la constance. Si tu fais 3 trades gagnants à +5% par semaine en risquant 1%, tu doubles ton compte en quelques mois.
Ce que je fais concrètement : je divise mon capital en 100 unités. Chaque trade = 1 unité max. Si je perds 5 trades d’affilée (ça arrive), je suis à -5%, pas à -50%. C’est ça la différence entre un trader qui dure et un qui explose son compte tous les 3 mois.
- Capital de départ divisé en 100 parts égales
- Stop loss systématique à -50% sur l’option (= -0.5% du capital total)
- Take profit partiel à +100% sur 50% de la position
- Trailing stop sur le reste pour laisser courir les gains
Concentration sur les trades à fort potentiel
Alors ça, c’est crucial : tous les trades ne se valent pas. Quand tu reconstruis, tu peux pas te permettre de prendre des trades moyens. Tu cherches le 3:1 minimum en risk/reward. Comment je les identifie ? Structure de marché claire, volume anormal, et surtout, un catalyseur identifiable.
Par exemple, avant les earnings d’une boîte, si je vois une accumulation massive de calls OTM avec une IV qui grimpe pas encore trop, bah là, y’a moyen. Mais attention, je prends position 2-3 jours avant max, et je sors avant l’annonce si j’ai déjà +50%. La cupidité, c’est l’ennemi numéro un dans la reconstruction.
Construction du portefeuille
Maintenant, parlons construction progressive. Parce que reconstruire un portefeuille, c’est pas juste enchaîner les trades. C’est bâtir quelque chose de solide, étape par étape. Au début, t’es en mode survie, mais progressivement, tu passes
