Composantes clés de la stratégie
Bon, alors là, on rentre dans le vif du sujet. La stratégie SMC Scalping, c’est pas juste un setup qu’on applique bêtement, tu vois. C’est tout un système, avec des composantes bien précises qu’il faut maîtriser. Et franchement, c’est là que beaucoup se plantent – ils prennent un bout par-ci, un bout par-là, et après ils s’étonnent que ça marche pas.
Ce que je veux dire, c’est que chaque élément de cette stratégie a son importance. Tu peux pas faire du scalping efficace si t’as pas la bonne config de graphiques, si tu sais pas repérer les zones où ça va bouger, ou si tu comprends pas comment les institutions piègent les retails. Voilà, c’est tout un ensemble, et on va décortiquer ça ensemble.
Configuration des graphiques et timeframes
Alors déjà, première chose, et c’est hyper important : ta configuration de trading. Tu vois, moi j’ai mis du temps à comprendre ça, mais en SMC Scalping, t’as besoin d’avoir une vision multi-timeframes. C’est pas négociable.
Concrètement, voilà comment je configure mes écrans :
- Un graphique en 15 minutes pour la vision globale – c’est là que tu vois les tendances principales, les zones de liquidité majeures
- Un graphique en 5 minutes pour affiner ton analyse – tu commences à voir les structures plus précises
- Un graphique en 1 minute pour l’exécution – c’est ton terrain de jeu pour le scalping
Mais attention hein, c’est pas juste mettre trois graphiques et c’est bon. Non non non. Ce qu’il faut comprendre, c’est que chaque timeframe te raconte une histoire différente. Le 15 minutes, c’est la direction générale – imagine que c’est l’autoroute. Le 5 minutes, c’est les sorties d’autoroute. Et le 1 minute, bah c’est les petites rues où tu vas vraiment naviguer.
Et franchement, le nombre de fois où j’ai vu des gars prendre des trades contre la tendance du 15 minutes… Aïe. C’est comme nager à contre-courant, tu peux le faire, mais bon courage pour tenir longtemps.
Identification des zones de liquidité
OK, maintenant on parle du truc qui fait vraiment la différence en SMC Scalping : les zones de liquidité. Tu vois, c’est pas pour rien qu’on parle de “Smart Money”. Les institutions, elles vont là où il y a des ordres à ramasser.
Alors comment on les repère ces fameuses zones ? Bah en fait, c’est assez logique quand tu comprends le principe. La liquidité, elle se trouve toujours aux mêmes endroits :
- Au-dessus des derniers highs – là où tous les stops des shorts sont placés
- En-dessous des derniers lows – les stops des longs évidemment
- Autour des niveaux psychologiques ronds – tu sais, les 1.1000 sur l’EURUSD par exemple
- Les equal highs et equal lows – quand t’as plusieurs sommets ou creux au même niveau
Ce que les gens captent pas, c’est que le marché, il a besoin de cette liquidité pour bouger. C’est comme l’essence pour une voiture. Sans liquidité, pas de mouvement significatif. Du coup, quand tu vois le prix qui s’approche d’une zone de liquidité importante, tu sais que quelque chose va se passer.
Moi, ce que je fais systématiquement, c’est que je marque ces zones sur mon graphique 15 minutes le matin. Comme ça, j’ai ma roadmap pour la journée. Et crois-moi, ça change tout. Au lieu de chasser les setups, tu les attends aux bons endroits.
Utilisation des blocs de déséquilibre
Bon, là on attaque un concept qui fait vraiment la puissance du SMC Scalping : les blocs de déséquilibre, ou comme on dit dans le jargon, les “imbalances” ou “FVG” (Fair Value Gaps). C’est là que ça devient vraiment intéressant.
Un bloc de déséquilibre, pour faire simple, c’est quand le prix bouge tellement vite qu’il laisse un “trou” derrière lui. T’as déjà vu ces grandes bougies qui partent d’un coup ? Bah voilà, c’est ça. Et ce qui est fou, c’est que le marché revient très souvent combler ces zones.
Pourquoi ? Parce que c’est des zones où il y a eu un déséquilibre entre acheteurs et vendeurs. Et le marché, il aime l’équilibre. C’est comme si t’avais sauté des marches en montant un escalier – à un moment, tu vas probablement revenir les chercher.
Dans mon trading quotidien, voilà comment j’utilise ces blocs :
- Je les identifie sur le timeframe 5 minutes – c’est le sweet spot pour le scalping
- Je regarde s’ils sont alignés avec mes zones de liquidité – double confirmation
- J’attends que le prix revienne les tester – patience, toujours la patience
- Je prends position quand j’ai une réaction claire sur ces niveaux
Et attention, tous les blocs de déséquilibre ne se valent pas. Ceux qui se forment après une prise de liquidité, ça c’est du gold. Parce que là, tu sais que les institutions ont fait leur shopping, et maintenant elles vont pousser le marché dans l’autre sens.
Franchement, une fois que t’as compris comment combiner les zones de liquidité avec les blocs de déséquilibre, ton trading passe à un autre niveau. C’est plus du hasard, c’est de l’analyse technique pure et dure. Et c’est ça qui te permet d’atteindre ce fameux taux de réussite de 80% en SMC Scalping.
