Analyse du marché et points clés
Alors voilà, quand on parle de SMC Trading, ce qu’il faut comprendre d’entrée, c’est qu’on cherche pas à deviner où va le marché. Non, on cherche à comprendre où les gros acteurs, les institutionnels, placent leurs billes. Tu vois, c’est comme suivre les traces dans la neige – sauf que là, les traces, c’est de la liquidité trading pure et dure.
Franchement, j’ai mis du temps à capter ça. Au début, je regardais mes graphiques comme tout le monde, je cherchais des patterns magiques. Mais en fait, le vrai game, c’est de comprendre la structure de prix que les institutions créent volontairement. Ils ont besoin de liquidité pour entrer et sortir de leurs positions massives, et nous, bah on surfe sur leur vague.
Setup des trades
Bon alors, le setup en SMC Trading, c’est pas juste tracer deux lignes et hop, on entre. Non non, c’est bien plus subtil que ça. Ce que je fais systématiquement, c’est que je commence par identifier les zones où la liquidité s’accumule. Tu sais, ces fameux niveaux où tout le monde a mis ses stops.
Le truc crucial, et je peux pas assez insister là-dessus, c’est de repérer les Order Blocks – ces zones où les institutionnels ont laissé leurs empreintes. Quand je vois un OB propre avec une belle réaction du prix, là je commence à construire mon scénario. Mais attention hein, pas n’importe comment. Je vérifie toujours trois trucs : la tendance générale, les zones de liquidité au-dessus et en-dessous, et surtout, surtout, le contexte temporel.
Tu vois, un setup qui marche en H4, c’est pas forcément le même qui va performer en M15. J’ai appris ça à mes dépens, crois-moi. Une fois, j’avais un setup parfait en daily, mais j’ai voulu le trader en M5 parce que j’étais impatient. Résultat ? Stop touché en 10 minutes. La gestion du risque, ça commence dès le choix du timeframe.
Points d’entrée optimaux
Alors là, les points d’entrée, c’est vraiment là où le SMC Trading prend tout son sens. Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’on cherche pas à acheter au plus bas ou vendre au plus haut. Non, on cherche le point où les institutionnels vont défendre leur position.
Concrètement, mes meilleurs trades, c’est quand j’entre après un sweep de liquidité. Tu sais, ce moment où le prix va chercher les stops des retails, nettoie tout, et revient dans la structure. C’est violent, c’est rapide, mais c’est là que se trouve l’argent. Le timing, c’est tout. J’attends toujours une confirmation – un changement de structure sur une unité de temps inférieure, un rejet net d’une zone clé.
Ce que j’ai appris avec mon backtest trading sur les 6 derniers mois, c’est que 73% de mes entrées gagnantes se faisaient après un faux breakout. Tu vois le pattern ? Les institutionnels font croire à une cassure, les retails sautent dedans, et paf, retournement. Nous, on entre juste après ce piège, quand la vraie direction se révèle.
Gestion du risque
Bon, la gestion du risque en SMC, c’est pas négociable. Et je vais être cash avec toi : si tu gères pas ton risque, tu vas te faire laminer, point. J’ai vu trop de traders qui avaient la bonne analyse, les bons points d’entrée, mais qui ont tout perdu parce qu’ils ont négligé cette partie.
Ma règle d’or, c’est jamais plus de 1% par trade. Jamais. Même quand je suis sûr à 99%, même quand tous les signaux sont alignés. Pourquoi ? Parce que le marché, il s’en fout de mes certitudes. J’ai déjà eu des setups parfaits en SMC Trading qui ont foiré pour des raisons externes – une news surprise, un tweet random, une intervention de banque centrale.
Du coup, mon stop, je le place toujours derrière la structure de prix qui invalide mon scénario. Pas question de mettre un stop arbitraire à 20 pips parce que ça fait joli. Non, le stop, c’est technique. Si le prix casse cette structure, mon analyse est fausse, je sors. Simple, basique. Et surtout, surtout, je touche jamais à mon stop une fois placé. La tentation de le bouger, c’est le début de la fin.
