Stratégie achat baisse : maîtriser le RSI pour acheter les dips

Points d’entrée optimaux

Alors voilà, la stratégie achat baisse, c’est pas juste attendre que ça descende et puis hop, on achète. Non, franchement, c’est beaucoup plus subtil que ça. Ce que je vois trop souvent, c’est des gens qui se jettent sur le premier dip venu, sans aucune méthodologie. Résultat ? Ils achètent trop tôt, le marché continue de chuter, et là c’est la panique totale.

Moi, ce que j’ai compris après des années de trading, c’est que les vrais points d’entrée, ils se préparent. Tu vois, c’est comme en boxe – tu frappes pas n’importe quand, tu attends l’ouverture parfaite. En bourse, cette ouverture, elle se lit avec les bons outils.

Indicateurs techniques clés

Bon, alors les indicateurs techniques, c’est un peu ta boussole dans la tempête. Sans eux, tu navigues à l’aveugle, et crois-moi, j’ai testé – ça marche pas. Le truc, c’est qu’il faut pas non plus tomber dans le piège inverse : celui de multiplier les indicateurs jusqu’à plus savoir où donner de la tête.

Voilà ce que j’utilise personnellement, et attention hein, c’est pas la formule magique, c’est juste ce qui marche pour moi :

  • Les moyennes mobiles : la MA20, MA50 et MA200 – elles te donnent la tendance globale
  • Les volumes : un dip avec des volumes énormes, c’est souvent de la capitulation
  • Les supports et résistances : ces niveaux psychologiques où le prix rebondit souvent
  • Le MACD : pour confirmer les retournements de tendance
  • Les bandes de Bollinger : quand le prix touche la bande basse, ça vaut le coup d’y regarder

Mais franchement, si tu devais n’en garder qu’un seul pour ta stratégie achat baisse, ce serait le RSI. Et je vais t’expliquer pourquoi.

RSI comme outil principal

Le RSI, ou Relative Strength Index si on veut faire le savant, c’est vraiment l’indicateur que j’aurais aimé maîtriser dès le début. Tu vois, pendant longtemps, j’ai snobé cet indicateur. Je me disais “bah, c’est trop simple, trop basique”. Quelle erreur monumentale !

En fait, ce qui fait la force du RSI dans le dip buying, c’est sa capacité à te dire quand le marché est vraiment, mais alors vraiment survendu. Pas juste “un peu baissier”, non – vraiment dans l’extrême.

Concrètement, voici comment je l’utilise pour mes points d’entrée :

  1. RSI inférieur à 30 : c’est la zone de survente classique, mais attention, c’est pas suffisant
  2. Multi-timeframes : je vérifie le RSI sur le daily, le 4H et le 1H – si tous sont sous 30, là on commence à parler
  3. Divergence haussière : quand le prix fait un nouveau plus bas mais pas le RSI, c’est le signal en or
  4. Confirmation du retournement : j’attends que le RSI repasse au-dessus de 30 pour valider l’entrée

Ce que les gens comprennent pas, c’est que le RSI tout seul, c’est pas magique. Moi j’ai vu des RSI à 20 qui continuaient de descendre pendant des semaines. Le secret, c’est la patience et la confirmation. Tu vois, c’est comme pêcher – tu jettes pas ta ligne dès que tu vois un poisson, tu attends qu’il morde vraiment.

Un exemple concret ? En mars 2020, pendant le crash COVID, le RSI du S&P500 était tombé à 14 sur le daily. Du jamais vu ! Ceux qui ont attendu le rebond au-dessus de 30 pour entrer ont fait une performance exceptionnelle. Moi j’étais dedans, et franchement, même avec l’expérience, c’était pas facile psychologiquement.

Donc voilà, ta stratégie achat baisse avec le RSI, elle doit être méthodique. Pas d’émotions, pas de FOMO, juste de la discipline et de la patience. C’est ça qui fait la différence entre ceux qui survivent aux marchés baissiers et ceux qui se font lessiver.

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