Analyse du Système de Trading
Bon alors, la stratégie FTMO trading profitable qui m’a permis de sortir ces 30000$ en un mois, c’est pas de la magie hein. C’est du boulot, de la discipline, et surtout une approche structurée sur les timeframes multiples. Tu vois, ce que beaucoup captent pas avec FTMO, c’est que c’est pas juste avoir un bon setup. C’est comment tu orchestres tout ça ensemble.
En fait, mon système repose sur trois piliers fondamentaux : une analyse technique rigoureuse, une synchronisation parfaite des timeframes, et une gestion des positions qui respecte à la lettre les règles du FTMO challenge. Franchement, si tu négliges un de ces aspects, tu vas droit dans le mur.
Timeframes Utilisés
Alors voilà, le cœur de ma stratégie, c’est vraiment cette approche multi-temporelle. Je commence toujours par le H4 pour identifier la tendance générale. C’est mon phare, tu vois ? Si le H4 me dit qu’on est haussier, bah je vais pas chercher à shorter comme un fou sur les petits timeframes.
Ensuite, je descends sur le H1 pour affiner mes zones d’entrée. C’est là que je repère mes OB, mes zones de liquidité, mes structures importantes. Le H1, c’est vraiment mon timeframe de travail principal pour le trading forex. C’est assez grand pour filtrer le bruit, mais assez précis pour avoir des entrées correctes.
- H4 : Vision macro et tendance directionnelle
- H1 : Identification des zones clés et structures
- M15 : Confirmation et timing précis des entrées
- M5 : Uniquement pour les ajustements de stop loss
Ce que je veux dire, c’est que chaque timeframe a son rôle. Le M15, je l’utilise uniquement pour confirmer mes entrées. Si j’ai un signal sur le H1, je vais chercher un break of structure ou une réaction sur une zone clé en M15. C’est ma validation finale avant de prendre position.
Attention hein, le piège avec les timeframes multiples, c’est de se perdre dans l’analyse. Tu peux très vite te retrouver avec des signaux contradictoires si tu regardes trop de timeframes. Moi, je reste sur ces quatre-là, point barre. Plus tu compliques, plus tu te plantes.
Gestion des Positions
Là, on rentre dans le vif du sujet pour une stratégie FTMO trading profitable. La gestion du risque, c’est 80% de ton succès avec FTMO, crois-moi. J’ai vu tellement de gars talentueux se faire recaler parce qu’ils géraient mal leurs positions…
Donc concrètement, je risque maximum 1% par trade. C’est non négociable. Même si j’ai le setup du siècle devant moi, même si tout aligne parfaitement, c’est 1% max. Pourquoi ? Parce que FTMO, ils te surveillent sur ta drawdown maximale. Tu dépasses 10% de perte sur le compte, c’est fini, tu repars à zéro.
Mon approche en day trading, c’est de ne jamais avoir plus de trois positions ouvertes simultanément. Ça me permet de garder le contrôle, de suivre chaque trade correctement. Tu vois, quand t’as 10 positions ouvertes, tu peux plus gérer correctement, tu deviens juste spectateur.
Pour les TP, je fonctionne en trois parties. Premier TP à 1:1 pour sécuriser et couvrir les frais, deuxième à 1:2 pour le profit, et je laisse courir le dernier tiers avec un trailing stop. Cette approche me permet d’être profitable même avec un taux de réussite de 40-45%.
- Stop loss toujours placé derrière une structure logique
- Jamais de moyennage à la baisse (c’est le piège classique)
- Clôture systématique avant les news majeures
- Pas de position overnight le vendredi (gap du weekend)
Ce qui fait vraiment la différence dans ma gestion du risque, c’est que je respecte une règle simple mais cruciale : si je perds 2% dans la journée, j’arrête. Point. Je ferme les charts, je vais faire autre chose. C’est dur mentalement, mais c’est ce qui m’a permis de jamais toucher la limite de drawdown quotidienne de FTMO.
Franchement, la gestion des positions avec FTMO, c’est comme conduire sur autoroute sous la pluie. Tu peux rouler vite, mais faut garder les distances de sécurité. Un seul écart et tu te retrouves dans le décor. C’est exactement pareil en trading : la discipline dans la gestion, c’est ce qui fait la différence entre ceux qui durent et ceux qui se crashent.
