Les fondamentaux de la stratégie ICT
Alors, là, on va rentrer dans le vif du sujet. La stratégie ICT trading d’Omar Agag, c’est pas ce que tu crois. Franchement, quand j’ai vu ses résultats la première fois – 30000$ par mois avec seulement 31% de trades gagnants – j’ai bugué. Comment c’est possible ? Bah en fait, c’est là que tout le monde se plante. On pense qu’il faut gagner 80%, 90% de ses trades pour être rentable. C’est faux, complètement faux.
Ce qu’il faut comprendre avec la méthodologie ICT, c’est que tu travailles avec les concepts institutionnels. Tu vois, les banques, elles s’en fichent de gagner tous leurs trades. Elles cherchent juste à prendre de la liquidité là où elle se trouve. Et Omar, il a compris ça. Il applique exactement les mêmes principes, mais avec une discipline de fer.
Le concept du 31% de winrate
Bon, alors le winrate trading de 31%, ça choque, je sais. Mais regarde bien ce qui se passe. Sur 100 trades, t’en perds 69. Oui, 69 ! Mais les 31 que tu gagnes, ils compensent largement toutes tes pertes. Comment ? C’est simple : chaque trade gagnant rapporte minimum 3 fois ce que tu risques. Donc mathématiquement, même avec ce faible taux de réussite, tu finis largement positif.
En fait, ce que les gens captent pas, c’est que chercher un winrate élevé, c’est souvent une erreur. Tu vois, quand tu vises 80% de réussite, tu prends des profits trop tôt, tu coupes tes gains. Alors qu’avec l’approche ICT, tu laisses courir tes positions gagnantes. C’est contre-intuitif, mais c’est ça qui fait la différence entre un trader amateur et un pro comme Omar.
- 31% de trades gagnants suffisent pour être très rentable
- L’obsession du winrate élevé limite les profits potentiels
- Les trades gagnants compensent largement les pertes grâce au ratio
Importance du ratio risque/récompense
Le ratio risque/récompense, c’est le cœur de cette stratégie ICT trading. Omar, il ne prend jamais, mais alors jamais, un trade avec moins de 1:3. Tu risques 100$, tu vises minimum 300$. C’est non négociable. Et souvent, il va chercher du 1:5, voire du 1:10 sur les setups parfaits.
Fais le calcul avec moi. Sur 10 trades avec un ratio 1:3 et 31% de winrate : tu perds 7 trades × 1 = -7 unités, tu gagnes 3 trades × 3 = +9 unités. Résultat net : +2 unités. Tu vois ? Même en perdant la majorité de tes trades, tu restes profitable. C’est ça la magie du ratio. Les débutants, ils cherchent à gagner souvent. Les pros, ils cherchent à gagner gros quand ils gagnent.
Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce ratio, il se travaille. C’est pas juste placer un take profit au hasard. Non, tu dois identifier les niveaux clés forex où la liquidité se trouve. Les order blocks, les fair value gaps, les liquidity pools… Tous ces concepts ICT, ils servent à maximiser ton ratio tout en gardant une probabilité raisonnable.
Gestion du capital et taille des positions
Alors là, attention hein, c’est crucial. Le money management trading d’Omar, c’est du militaire. Il risque maximum 1% de son capital par trade. Pas 2%, pas 1.5%. Un pourcent, point barre. Avec 100 000$ de capital, ça fait 1000$ de risque max par position. Et devine quoi ? Même en enchaînant 10 pertes d’affilée – ce qui arrive, crois-moi – il perd que 10% de son compte.
Mais le truc génial avec cette approche, c’est la compound effect. Quand tu gagnes, tu réinvestis. Ton 1% augmente naturellement. De 1000$, tu passes à 1100$, puis 1200$… Sans changer ta gestion risque trading. C’est comme ça qu’on passe de quelques milliers à 30000$ par mois. Pas en prenant des risques fous, mais en laissant les maths faire leur travail.
Omar, il a aussi une règle d’or : après 3 pertes consécutives, il réduit sa taille de position de moitié. Pourquoi ? Parce que la psychologie trading entre en jeu. Quand tu perds, tu deviens émotionnel, moins lucide. Donc tu réduis le risque le temps de retrouver ton calme. C’est pas de la faiblesse, c’est de l’intelligence.
