Principes fondamentaux
Alors voilà, la stratégie ICT trading, c’est pas juste une méthode de plus dans la jungle du forex. C’est vraiment une approche qui m’a permis de passer de trader galère à générer mes 10 000$ mensuels. Mais attention hein, c’est pas de la magie, c’est de la pure analyse technique basée sur la compréhension du marché institutionnel.
Ce que j’ai compris avec le temps, c’est que le marché, il respire. Il crée des inefficiences, des espaces vides qu’on peut exploiter. Tu vois, les banques et les institutions, elles laissent des traces. Et nous, on surf sur ces traces. C’est ça le principe de base de l’ICT.
Fair Value Gaps (FVG)
Bon alors les Fair Value Gaps, franchement, c’est le cœur de la stratégie. Un FVG, pour faire simple, c’est quand le prix fait un mouvement tellement violent qu’il laisse un espace non testé derrière lui. Tu regardes trois bougies consécutives, et bam, tu vois ce vide entre la mèche haute de la première et la mèche basse de la troisième.
En fait, ce que les gens captent pas souvent, c’est que ces gaps, c’est pas juste des trous dans le graphique. C’est littéralement des zones où y’a eu aucune transaction, aucun accord entre acheteurs et vendeurs. Du coup, le prix, il a tendance à revenir combler ces zones. C’est comme si le marché devait réparer ses propres erreurs tu vois.
Moi, ce que je fais concrètement : je marque tous mes FVG sur les timeframes H4 et daily pour le contexte, puis je descends en M15 pour l’exécution. Parce que voilà, un gap sur le daily, c’est du lourd, c’est pas juste du bruit de marché.
Ordre de marché et niveaux clés
Alors là, on rentre dans le dur de la stratégie ICT trading. Les ordres de marché, c’est pas ce que tu crois. C’est pas juste mettre un buy ou un sell. Non non, c’est comprendre où se trouvent les vrais ordres, ceux des institutions.
Tu vois, moi j’ai galéré pendant des mois avant de comprendre ça : les niveaux clés, c’est pas juste des supports et résistances classiques. C’est des zones où la liquidité s’accumule. Les order blocks par exemple, c’est la dernière zone de consolidation avant un mouvement impulsif. C’est là que les gros ont positionné leurs ordres.
- Order blocks : dernière consolidation avant impulsion
- Breaker blocks : ancien support devenu résistance (ou inversement)
- Mitigation blocks : zones de reprise après manipulation
- Liquidity pools : accumulation de stop-loss à chasser
Ce qui est fou, c’est qu’une fois que tu vois ça, tu peux plus trader autrement. Tu comprends pourquoi le prix fait des wicks bizarres, pourquoi il va chercher tel ou tel niveau. C’est de la pure logique institutionnelle.
Gestion du risque
Bon, la gestion du risque, franchement, c’est ce qui fait la différence entre gagner 10 000$ par mois et tout perdre en une semaine. Et je parle d’expérience hein, j’ai déjà cramé des comptes parce que j’étais trop gourmand.
Ma règle d’or maintenant : jamais plus de 1% de risque par trade. Ouais, c’est peu, mais c’est ce qui me permet de dormir tranquille. Sur un compte de 50 000$, ça fait 500$ de risque max. Avec un ratio de 1:3 minimum, ça fait 1500$ de gain potentiel. Tu fais ça 7-8 fois dans le mois avec un taux de réussite correct, t’es dans tes objectifs de profit.
Ce que je veux dire, c’est que c’est pas le setup qui fait le trader profitable. C’est comment tu gères tes pertes. Moi je place toujours mon stop derrière la structure, jamais basé sur un montant arbitraire. Si le trade nécessite un stop trop large pour respecter mon 1%, je passe mon tour. Point barre.
Et puis voilà, y’a aussi la règle des corrélations. Je trade jamais plus de deux paires corrélées en même temps. Parce que si t’es long sur EUR/USD et GBP/USD en même temps, c’est comme si tu doublais ta position. C’est du suicide en cas de news défavorable.