Méthodologie de développement de la stratégie
Bon alors, je vais être très transparent avec vous sur comment j’ai bossé avec ChatGPT trading pour développer cette stratégie. Franchement, c’était un vrai parcours du combattant au début, hein. Tu vois, l’IA c’est pas magique, c’est un outil, et comme tout outil, faut savoir s’en servir correctement.
Ce que j’ai fait concrètement, c’est que j’ai commencé par définir un cahier des charges ultra précis. Parce que voilà, si tu dis juste à ChatGPT “fais-moi une stratégie de scalping IA“, tu vas te retrouver avec des trucs génériques qui servent à rien. Du coup, j’ai structuré ma demande en plusieurs étapes, en lui donnant des contraintes très claires sur les timeframes, les objectifs de profit, et surtout, très très important, les limites de risque acceptables.
L’approche que j’ai adoptée, c’était vraiment itératif. Je demandais à l’IA de me générer une base, je testais, je revenais avec les résultats du backtest trading, et on affinait ensemble. C’est comme ça qu’on a progressivement convergé vers quelque chose de viable. Attention hein, ça m’a pris des semaines, c’est pas du tout instantané comme certains vendeurs de rêve voudraient vous le faire croire.
Paramètres de base du scalping
Alors là, on rentre dans le dur. Les paramètres de base pour du scalping automatisé, c’est vraiment le nerf de la guerre. J’ai configuré la stratégie pour travailler sur des timeframes très courts, principalement du M1 et M5. Pourquoi ? Bah tout simplement parce que le scalping, par définition, c’est de la prise de position ultra rapide.
- Timeframe principal : M1 avec confirmation sur M5
- Objectif de profit par trade : 5 à 10 pips maximum
- Stop loss systématique : 3 à 5 pips
- Ratio risk/reward minimum : 1:1.5
- Nombre maximum de positions simultanées : 2
Ce que ChatGPT m’a suggéré et qui était vraiment pertinent, c’est de limiter les heures de trading. On trade pas 24h/24, c’est de la folie. Du coup, on a paramétré le bot pour qu’il soit actif uniquement pendant les sessions de Londres et New York, là où y’a de la liquidité, tu vois. Parce que le scalping sans liquidité, c’est comme essayer de conduire une Ferrari dans un champ de boue, ça marche pas.
Un truc super important que j’ai appris, c’est que les paramètres doivent être adaptables. Donc j’ai demandé à l’IA de créer un système avec des variables modulables. Par exemple, le spread maximum acceptable, on le fixe à 1 pip en conditions normales, mais en cas de volatilité extrême, le bot s’arrête automatiquement. C’est ce genre de détails qui font la différence entre perdre son compte et survivre sur le long terme.
Configuration des indicateurs techniques
Pour les indicateurs techniques, franchement, j’ai été surpris par les suggestions de ChatGPT. Au lieu de me sortir un truc avec 50 indicateurs comme on voit souvent, l’IA m’a proposé une approche minimaliste mais efficace. Et ça, c’est exactement ce qu’il faut en scalping.
La configuration principale repose sur trois piliers. D’abord, on a le RSI en 14 périodes, mais attention, pas utilisé de manière classique. On l’utilise avec des niveaux ajustés à 35 et 65 au lieu du traditionnel 30/70. Pourquoi ? Bah parce qu’en scalping, on veut entrer plus tôt dans le mouvement, pas attendre que ce soit suracheté ou survendu à l’extrême.
Ensuite, deuxième élément crucial, les moyennes mobiles exponentielles. J’ai configuré une EMA 9 et une EMA 21. Le croisement de ces deux là, combiné avec la position du RSI, ça nous donne notre signal d’entrée principal. Mais attention hein, c’est pas juste un bête croisement qu’on suit aveuglément. Y’a tout un système de filtres derrière.
Le troisième indicateur, c’est les bandes de Bollinger avec un écart-type de 1.5 au lieu de 2. Ça nous sert de filtre de volatilité. Si le prix touche la bande supérieure ou inférieure, on désactive temporairement les signaux d’entrée. C’est contre-intuitif mais en backtest, ça a considérablement réduit les faux signaux.
Ce que je trouve vraiment intelligent dans cette configuration que ChatGPT a proposée, c’est l’utilisation du volume. On a intégré un filtre de volume qui compare le volume actuel à la moyenne des 20 dernières bougies. Si on est en dessous de 70% de cette moyenne, pas de trade. Simple mais diablement efficace pour éviter les pièges de liquidité.
Pour la gestion des risques trading, chaque indicateur a un poids dans la décision finale. C’est pas binaire, c’est un système de scoring. RSI dans la zone : 30 points. Croisement EMA favorable : 40 points. Volume suffisant : 30 points. Il faut minimum 70 points pour déclencher un trade. Ça évite les entrées hasardeuses basées sur un seul signal.