Analyse des Tendances
Bon, on va parler d’un truc crucial dans ta stratégie trading forex, c’est l’analyse des tendances. Tu vois, ce que beaucoup captent pas, c’est que le marché, il te parle constamment. Mais encore faut-il savoir l’écouter, hein. Moi, j’ai mis des années à vraiment comprendre ça, et franchement, c’est ce qui a changé mon trading.
En fait, une tendance, c’est comme une autoroute. T’as le choix : soit tu roules dans le bon sens avec tout le monde, soit tu prends l’autoroute à contresens. Devine lequel finit mal ? Voilà. Le truc, c’est que sur le forex, identifier correctement la tendance principale, c’est déjà 70% du boulot fait.
Identification des Niveaux Clés
Alors là, attention, on rentre dans du concret. Les niveaux clés, c’est les zones où le prix, il va réagir. C’est pas de la magie, c’est de l’analyse technique pure et dure. Tu vois ces zones de support et résistance ? Bah c’est là que tout se joue.
Ce que je fais personnellement, c’est que je commence toujours par le weekly. Ouais, le graphique hebdomadaire. Pourquoi ? Parce que c’est là que tu vois les vrais niveaux, ceux que les institutionnels regardent. Pas les petits supports de 5 minutes que tout le monde trade et qui sautent comme des crêpes.
Du coup, voilà ma méthode : je trace mes niveaux majeurs sur le weekly, je descends sur le daily pour affiner, et après seulement, je vais sur le H4 ou H1 pour mon timing d’entrée. C’est ce qu’on appelle l’approche top-down, et franchement, si tu fais pas ça, tu navigues à vue.
- Toujours commencer par les timeframes supérieures (weekly/daily)
- Identifier les zones de réaction historiques du prix
- Chercher la confluence entre plusieurs niveaux
- Valider avec les volumes quand c’est possible
Un truc que j’ai appris à mes dépens : un niveau, c’est pas une ligne précise. C’est une zone. Si tu mets ton stop-loss juste derrière un support pile poil, tu vas te faire sortir pour rien. Les market makers, ils connaissent ces niveaux aussi bien que toi, et ils vont chasser les stops.
Gestion des Positions
Ok, maintenant qu’on a nos niveaux et notre tendance, on fait quoi ? Bah c’est là que la gestion du risque entre en jeu. Et attention, c’est pas négociable. J’ai vu trop de comptes sauter parce que les mecs géraient leurs positions n’importe comment.
Première règle : jamais plus de 1 à 2% de risque par trade. Je sais, ça paraît peu. Mais tu veux trader dans 6 mois ou tu veux faire le malin pendant 2 semaines ? Parce que moi, j’ai fait le malin au début. Résultat : trois comptes cramés avant de comprendre.
Ensuite, la taille de position. C’est des maths simples mais combien s’emmêlent les pinceaux là-dessus ! Tu calcules ton stop en pips, tu regardes combien ça représente en euros selon ton lot size, et tu ajustes pour que ça colle à ton risque max. Point barre. Pas d’exception, pas de “cette fois c’est différent”.
Ce que je fais aussi, et ça c’est un game changer : je scale in et je scale out. En gros, j’entre pas tout d’un coup, et je sors pas tout d’un coup non plus. Par exemple, sur une position longue en tendances forex haussière, je vais rentrer un tiers à mon niveau, un tiers si ça reteste, et le dernier tiers en confirmation de cassure.
- Premier TP à 1:1 pour sécuriser et mettre le stop à breakeven
- Deuxième TP à 1:2 ou sur une résistance majeure
- Laisser courir le reste avec un trailing stop
La psychologie trading là-dedans ? Elle est cruciale. Parce que gérer ses positions, c’est gérer ses émotions. Quand tu vois ton trade en profit, ton cerveau il te dit “prends tout maintenant”. Quand tu es en perte, il te dit “attends, ça va revenir”. Dans les deux cas, c’est ton plan qui doit parler, pas tes émotions.
Franchement, si tu maîtrises ça – l’identification des tendances et la gestion de positions – t’as déjà fait un bond énorme dans ton trading. C’est pas sexy, c’est pas les signaux magiques que certains vendent, mais c’est ce qui marche. Et crois-moi, dans ce business, ce qui compte c’est pas d’avoir raison une fois, c’est de survivre assez longtemps pour que les probabilités jouent en ta faveur.
