Stratégie Trading Profitable : La Méthode du 1% Quotidien de DovyFX

La stratégie du 1% quotidien

Bon, alors voilà, la stratégie trading profitable qui m’a permis de transformer mes 25k$ en 250k$, c’est pas du magic trick, hein. C’est juste une approche disciplinée, répétée, maîtrisée. Tu vois, le truc avec le 1% quotidien, c’est que les gens pensent direct “ah ouais, 1% c’est rien”. Bah justement, c’est là toute la beauté du concept.

En fait, ce que j’ai compris après des années à me casser les dents sur les marchés, c’est que viser 1% par jour, c’est déjà énorme. Tu fais le calcul sur un mois, avec les intérêts composés, t’arrives à des chiffres qui font rêver. Mais attention, je parle pas de faire 1% tous les jours sans exception. Non, ce serait mentir. Ce que je veux dire, c’est que ton objectif moyen, ta cible, c’est ça.

Du coup, comment j’ai construit cette approche ? Déjà, j’ai arrêté de chercher le gros coup, tu vois. Avant, j’étais comme tout le monde, je voulais faire x10 sur un trade. Résultat ? Je perdais plus que je gagnais. Là, avec le 1%, tu changes complètement ta psychologie trading. Tu cherches plus le jackpot, tu cherches la régularité.

Franchement, la clé de cette stratégie trading profitable, c’est la patience. T’as une setup qui te donne pas une probabilité claire d’atteindre ton 1% ? Tu trades pas. Point. C’est aussi simple que ça. Parfois, je reste des heures devant mes écrans sans rien faire. Et c’est OK. Parce que ne pas trader, c’est aussi une décision de trading.

Identification des points d’entrée

Alors là, on rentre dans le vif du sujet. Les points d’entrée, c’est vraiment ce qui fait la différence entre un trade rentable et un trade foireux. Moi, ce que j’ai développé avec le temps, c’est un système basé sur trois critères principaux qui doivent tous être alignés.

Premier critère, l’analyse des volumes. Si t’as pas de volume qui confirme ton mouvement, tu rentres pas. C’est non négociable. Tu vois, le volume, c’est comme le carburant d’une voiture. Sans ça, ton prix il va nulle part. Donc je regarde toujours si j’ai une augmentation significative du volume au moment où le prix approche de ma zone d’intérêt.

  • Volume supérieur à la moyenne des 20 dernières bougies
  • Confirmation par une bougie de retournement avec fort volume
  • Divergence volume/prix comme signal d’alerte

Deuxième critère, la structure du marché. Est-ce qu’on est en tendance ? En range ? En consolidation ? Parce que tu vois, chaque configuration demande une approche différente. En tendance, je cherche les pullbacks sur les zones clés. En range, je joue les bornes. C’est pas plus compliqué que ça, mais il faut le respecter.

Troisième critère, et là c’est mon petit secret, c’est ce que j’appelle la “confluence des temporalités”. En gros, je veux que mon analyse technique soit alignée sur au moins trois timeframes différents. Si le H4 me dit achat, le H1 me dit achat, et le M15 me donne un signal d’entrée, là je sais que j’ai quelque chose de solide.

Mais attention hein, même avec tous ces critères, je prends pas position si j’ai pas mon ratio risk/reward d’au moins 1:2. C’est le minimum syndical. Parce que même avec la meilleure stratégie du monde, tu vas avoir des pertes. C’est mathématique. Donc il faut que quand tu gagnes, tu gagnes plus que ce que tu perds.

Gestion du risque

OK, alors la gestion du risque, c’est vraiment le cœur de ma stratégie. C’est ce qui fait que je suis encore là après toutes ces années, alors que 90% des traders ont disparu. Tu vois, le problème avec la plupart des gens, c’est qu’ils pensent d’abord aux gains. Moi, je pense d’abord aux pertes.

Ma règle d’or, c’est jamais plus de 0.5% de risque par trade. Jamais. Même si j’ai la setup du siècle devant moi. Pourquoi ? Parce que psychologiquement, perdre 0.5%, tu t’en remets. Tu perds 5% sur un trade, tu commences à faire n’importe quoi pour te refaire. C’est là que tu creuses ta tombe.

Du coup, comment je calcule ça concrètement ? C’est simple. Avant chaque trade, je définis mon stop loss. C’est la première chose que je fais, avant même de penser au take profit. Le stop, il est placé techniquement, pas émotionnellement. Généralement sous le dernier swing low en achat, au-dessus du dernier swing high en vente.

Une fois que j’ai mon stop, je calcule ma taille de position. Si mon stop est à 20 pips et que je veux risquer 0.5% de mon capital, bah je fais le calcul et j’ajuste mon lot size en conséquence. C’est du money management basique, mais c’est ça qui fait la différence sur le long terme.

  1. Définir le niveau de stop loss technique
  2. Calculer la distance en pips jusqu’au stop
  3. Déterminer le montant maximum à risquer (0.5% du capital)
  4. Ajuster la taille de position en conséquence

Et puis, ce que les gens captent pas, c’est que la gestion du risque, c’est pas juste le stop loss. C’est aussi savoir quand ne pas trader. T’as déjà pris deux pertes dans la journée ? Tu arrêtes. T’es fatigué, énervé, euphorique ? Tu trades pas. Le marché sera encore là demain, mais ton capital, si tu fais n’importe quoi, lui il sera plus là.

Franchement, si tu devais retenir qu’une chose de ma stratégie trading profitable, c’est ça : protège ton capital comme si c’était ta vie. Parce qu’en trading, c’est exactement ce que c’est. Sans capital, t’es mort. Game over. Donc respecte tes règles de risk management, même quand ça te démange de les briser.

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