Stratégie de Trading : Support, Résistance et Indicateurs RSI/MACD

Analyse des Conditions de Marché

Bon alors, tu vois, l’analyse des conditions de marché, c’est vraiment la base de toute stratégie de trading qui se respecte. J’ai mis des années à comprendre ça, franchement. Au début, je fonçais tête baissée, je voyais un setup qui me plaisait et hop, j’entrais direct. Résultat ? Des stops loss qui sautaient comme des pop-corn, tu vois ce que je veux dire.

Ce que j’ai compris avec le temps, c’est que le marché, il a ses humeurs. Et si tu captes pas dans quel mood il est, bah tu vas juste te faire rincer. C’est comme conduire sous la pluie avec des pneus lisses, tu peux être le meilleur pilote du monde, ça va mal finir.

Identification des Niveaux de Support et Résistance

Alors là, support et résistance, c’est vraiment le pain quotidien du trader. Franchement, si tu maîtrises pas ça, autant aller au casino direct, ce sera plus rapide. Moi, ce qui m’a sauvé la mise plus d’une fois, c’est de vraiment comprendre que ces niveaux, c’est pas juste des lignes sur un graphique.

Tu vois, un support, c’est comme le plancher de ta maison. Le prix, il vient taper dessus, il rebondit. Une résistance, c’est le plafond. Le prix monte, il se cogne, il redescend. Simple non ? Bah en fait, pas tant que ça.

Ce que beaucoup captent pas, c’est que ces niveaux, ils sont psychologiques avant tout. C’est là où les traders ont peur, où ils prennent leurs profits, où ils coupent leurs pertes. Du coup, moi ce que je fais systématiquement dans mon analyse technique :

  • Je trace mes niveaux sur plusieurs timeframes – du H4 au Daily minimum
  • Je regarde combien de fois le prix a réagi sur ces zones – plus il y a eu de réactions, plus c’est solide
  • J’identifie les zones de confluence – quand plusieurs niveaux se rejoignent, là c’est du béton armé
  • Je note les volumes échangés sur ces niveaux – gros volumes = niveau important

Un truc que j’ai appris à mes dépens : un support cassé devient résistance, et inversement. J’ai perdu un paquet de thunes avant de vraiment intégrer ça. Maintenant, dès qu’un niveau est cassé proprement, je le retourne comme une crêpe dans ma tête.

Et attention hein, je parle pas de tracer des lignes partout comme un gamin avec des feutres. Non, faut être chirurgical. Trois, quatre niveaux max sur ton graphique. Si t’en as quinze, c’est que t’as rien compris, tu vas juste te paralyser.

Utilisation du RSI et MACD

Bon alors, le RSI et le MACD, c’est un peu mes deux meilleurs potes en trading. Mais attention, c’est pas des boules de cristal non plus. J’ai vu trop de débutants qui pensent que dès que le RSI passe sous 30, faut acheter direct. Non mais franchement, si c’était si simple, on serait tous millionnaires.

Le RSI, pour moi, c’est comme le thermomètre du marché. Il te dit si on est en surchauffe ou en hypothermie. Mais voilà, ce que les gens comprennent pas, c’est qu’en tendance forte, le RSI peut rester en zone extrême pendant des plombes. J’ai déjà vu des RSI à 80+ pendant trois semaines. Si t’avais shorté à chaque fois, t’étais ruiné.

Ce que je fais avec le RSI dans ma stratégie de trading :

  • Je cherche les divergences – quand le prix fait un nouveau plus haut mais pas le RSI, là je dresse l’oreille
  • Je l’utilise pour confirmer mes niveaux de support et résistance – RSI oversold sur un support majeur ? Là on parle
  • Je regarde la ligne des 50 – au-dessus on est bullish, en-dessous bearish, simple et efficace

Le MACD, c’est différent. C’est plus comme un GPS qui te dit où va la tendance. Les croisements de lignes, les histogrammes qui changent de couleur… Mais encore une fois, faut pas être un robot. Un croisement MACD en plein milieu de nulle part, ça vaut rien.

Mon setup préféré, celui qui m’a fait gagner le plus de trades rentables, c’est quand j’ai :

  • Un niveau de support ou résistance clair et testé plusieurs fois
  • Le RSI qui montre une divergence ou un niveau extrême
  • Le MACD qui commence à tourner avec un croisement imminent ou récent
  • Le tout confirmé par l’action du prix – des bougies de retournement, des wicks, des patterns

Tu vois, c’est la confluence qui fait la force. Un indicateur tout seul, c’est comme un témoin unique dans un procès – pas assez fiable. Mais quand t’as le RSI, le MACD, les niveaux et le price action qui disent tous la même chose, là tu commences à avoir un truc solide.

Et je vais te dire un secret : parfois, le meilleur trade, c’est celui que tu prends pas. Si tes indicateurs se contredisent, si t’as un doute, tu restes sur le banc. C’est pas grave de rater une opportunité, c’est grave de prendre une position pourrie.

Gestion du Risque

Alors là, on rentre dans le dur. La gestion du risque, c’est vraiment ce qui sépare les traders qui durent de ceux qui se font exploser le compte en trois mois. Et crois-moi, j’ai failli faire partie de la deuxième catégorie plus d’une fois.

Tu sais quoi ? Le trading, c’est pas une question de combien tu gagnes sur tes trades gagnants. C’est une question de combien tu perds sur tes trades perdants. Cette phrase, elle m’a pris deux ans et 30% de mon capital pour la comprendre vraiment. Maintenant, elle est tatouée dans mon

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