Composants de la stratégie
Bon, alors là, on attaque le cœur du système. Tu vois, ce que j’ai compris après des années à me casser les dents sur les marchés, c’est que le trend following trading c’est pas juste suivre une ligne qui monte ou qui descend. Non, franchement, c’est beaucoup plus subtil que ça. Ce que je vais te montrer, c’est comment j’assemble trois outils qui, pris séparément, sont déjà puissants, mais qui ensemble deviennent… bah disons une machine à capturer les tendances.
Indicateur ADX
Alors l’ADX, Average Directional Index pour les puristes, c’est mon premier filtre. Tu sais quoi ? Au début, je l’ignorais complètement cet indicateur. Je me disais “encore un truc compliqué”. Mais en fait, c’est hyper simple : il te dit si la tendance est forte ou pas. C’est tout. Pas la direction hein, juste la force.
Ce qu’il faut comprendre avec l’ADX, c’est qu’il oscille entre 0 et 100. Moi, ma règle d’or, c’est : au-dessus de 25, on a une tendance qui vaut le coup. En dessous ? Bah on range, on attend. Voilà, c’est aussi simple que ça. Pourquoi 25 ? Parce que j’ai testé, retesté, et que c’est le sweet spot où tu filtres le bruit sans rater les bonnes opportunités.
- ADX > 25 = tendance forte confirmée pour le trend following trading
- ADX < 20 = marché en range, on ne trade pas
- Entre 20 et 25 = zone grise, prudence maximale
Franchement, combien de fois j’ai vu des traders se planter parce qu’ils prenaient position sur une tendance molle ? L’ADX, c’est ton garde-fou. Il te protège de toi-même quand tu veux absolument voir une tendance là où y’en a pas vraiment.
Moving Average 200
La moving average 200, ou MA200, c’est… comment dire… c’est la colonne vertébrale de mon trading system. Tu vois, tous les institutionnels la regardent cette moyenne. Du coup, elle devient une prophétie auto-réalisatrice. Prix au-dessus ? On est bullish. En dessous ? Bearish. Point.
Mais attention hein, c’est pas juste “oh le prix est au-dessus, j’achète”. Non non non. La MA200, elle me sert de filtre directionnel. Ce que je veux dire, c’est que si le prix est au-dessus, je cherche uniquement des longs. Pas de shorts. Même si j’ai un super setup bearish. Pourquoi ? Parce que tu trades pas contre la marée, tu la surfes.
Ce qui est génial avec la MA200 dans le contexte du trend following trading, c’est qu’elle lisse tellement le bruit que tu vois vraiment la direction de fond. Et ça, crois-moi, dans l’analyse technique, c’est de l’or. J’ai vu trop de traders se faire détruire parce qu’ils voulaient être plus malins que le marché.
Les zones de support et résistance
Alors là, on touche à l’essence même du trading. Les zones de support resistance, c’est pas de la magie, c’est de la psychologie pure. Tu sais pourquoi ces niveaux fonctionnent ? Parce que tout le monde les regarde. C’est aussi bête que ça.
Dans mon système de trend following trading, je les utilise pas pour prédire des retournements. Non, je les utilise pour timing mes entrées. Tendance haussière confirmée par l’ADX et la MA200 ? J’attends que le prix vienne tester un support pour entrer. C’est ce qu’on appelle un pullback, et franchement, c’est là que tu obtiens le meilleur rapport risque/récompense.
- Support = zone d’achat en tendance haussière
- Résistance = zone de short en tendance baissière
- Toujours attendre le retest pour optimiser l’entrée
- Les zones, pas les lignes – le marché n’est pas précis au pip près
Ce que beaucoup captent pas, c’est que ces zones, elles changent de rôle. Un support cassé devient résistance, et vice versa. Moi j’appelle ça le flip, et c’est souvent là que les meilleures opportunités se présentent. Mais encore une fois, toujours dans le sens de la tendance principale hein. On force pas, on accompagne.
La gestion du risque avec ces niveaux, c’est du velours. Tu places ton stop juste sous le support testé, et boom, tu as une invalidation claire. Pas d’émotions, pas de “peut-être que”. C’est noir ou blanc. Ça tient ou ça casse.