Supply and Demand Trading : Maîtrisez les Zones Clés du Marché

Fondamentaux de la stratégie Supply & Demand

Bon, alors là on attaque le vif du sujet. Le supply and demand trading, c’est pas juste tracer des lignes sur un graphique en espérant que ça marche. Non, c’est comprendre où les gros volumes se sont battus, où les institutionnels ont laissé leurs traces. Tu vois, quand je dis “traces”, c’est comme un chasseur qui suit les empreintes d’un animal – sauf que nous, on traque les mouvements de smart money.

Ce que beaucoup captent pas, c’est que ces zones de trading racontent une histoire. Une vraie bataille entre acheteurs et vendeurs. Et franchement, quand tu comprends cette histoire, tu commences à voir le marché différemment. C’est plus des bougies rouges et vertes, c’est des zones de conflit, des territoires conquis et perdus.

Zones de supply (résistance)

Alors, une zone de supply, c’est quoi concrètement ? C’est l’endroit où les vendeurs ont dit “stop, c’est trop haut, on décharge tout”. Et bam, le prix chute violemment. Tu vois cette grande bougie rouge qui sort de nulle part ? Voilà, t’as trouvé ta zone. Mais attention hein, c’est pas n’importe quelle résistance classique de l’analyse technique.

La différence fondamentale, c’est qu’on cherche des zones fraîches, non testées. Imagine que tu rentres dans une pièce où personne n’est allé depuis des mois – c’est ça qu’on veut. Plus la zone est vierge, plus elle a de chances de réagir fort. J’ai vu trop de traders se planter en tradant des niveaux de support résistance usés jusqu’à la corde.

  • Rechercher les mouvements impulsifs baissiers avec peu ou pas de consolidation préalable
  • Identifier la base de la dernière consolidation avant la chute
  • Privilégier les zones créées sur des timeframes élevées (4H minimum)
  • Éviter les zones testées plus de 2-3 fois

Le truc crucial, c’est de comprendre que ces zones de supply, elles sont créées par des ordres massifs. C’est pas trois traders particuliers qui vendent leurs 0.1 lot. Non, on parle d’institutions qui balancent des millions. Du coup, quand le prix revient, y’a souvent encore des ordres qui traînent là-haut.

Zones de demand (support)

Maintenant, les zones de demand, c’est l’inverse mais avec la même logique. C’est là où les acheteurs ont dit “c’est cadeau, on prend tout !”. Le prix explose vers le haut, laissant derrière lui une zone d’intérêt majeur. Et franchement, quand tu vois une belle zone de demand se former, c’est comme voir un panneau “entrée autoroute” pour les bulls.

Ce qui est génial avec ces zones dans ta stratégie de trading, c’est qu’elles te donnent des niveaux précis. Fini le flou artistique du “à peu près par là”. Non, tu sais exactement où poser ton ordre, où mettre ton stop. C’est chirurgical. J’ai personnellement augmenté mon taux de réussite de 20% juste en étant plus rigoureux sur l’identification de ces zones.

  • Chercher les rallyes haussiers explosifs sans pullback
  • Marquer la dernière zone de consolidation avant l’explosion
  • Vérifier le volume pour confirmer l’intérêt institutionnel
  • Prioriser les zones créées après des corrections importantes

Alors oui, parfois tu vas te tromper. La zone que tu pensais solide va se faire transpercer comme du beurre. Mais c’est là que la gestion des risques entre en jeu. Si tu respectes ton plan, même les pertes restent gérables.

Mise en place du trade

Bon, identifier les zones c’est bien, mais si tu sais pas comment rentrer proprement, ça sert à rien. C’est comme avoir une Ferrari mais pas le permis. Du coup, on va décortiquer comment je structure mes trades sur ces zones, et crois-moi, après des années à affiner cette approche, j’ai quelques pépites à partager.

Configuration idéale

La config parfaite en supply and demand trading, elle existe. Mais elle est rare. Très rare même. Et c’est ça qui fait sa force. Tu vois, quand toutes les conditions sont réunies, c’est comme aligner les planètes – ça arrive pas tous les jours, mais quand ça arrive, tu dois être prêt.

D’abord, tu veux une zone fraîche, jamais testée. Ensuite, le retour du prix doit être progressif, pas violent. Si le prix rush sur ta zone, méfiance. Les meilleurs setups, c’est quand le marché “crawle” tranquillement vers ta zone, sans pression. C’est contre-intuitif, mais les retours lents donnent souvent les réactions les plus explosives.

  • Zone créée par un mouvement institutionnel clair (gap ou grande bougie)
  • Première visite de la zone après sa création
  • Approche progressive du prix sans momentum excessif
  • Confluence avec d’autres facteurs techniques (Fibonacci, structure de marché)
  • Timeframe supérieur en accord avec la direction du trade

Ce que j’ai appris aussi, c’est que le contexte global compte énormément. Si t’es en plein NFP ou avant une annonce de taux, oublie. Les zones de trading peuvent tenir, mais le risque est démesuré. La patience, c’est 80% du game dans cette stratégie.

Gestion des positions

Alors là, on touche au cœur du problème. Combien de fois j’ai vu des traders avoir raison sur l’entrée mais tout foirer sur la gestion ? Trop. Beaucoup trop. La gestion des risques dans le supply and demand, c’est pas négociable.

Ma règle d’or : jamais plus de 1% de risque par trade. Et franchement, quand tu débutes avec cette stratégie, commence à 0.5%. Pourquoi ? Parce que tu vas te planter. C’est normal, c’est le processus. Mais si tu perds 0.5% au lieu de 2%, tu peux te planter 20

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