Stratégies clés de trading
Alors là, on rentre dans le dur. Tu vois, ce qui fait la différence entre Leos Mikulka et 99% des traders qui galèrent, c’est pas juste la chance ou un setup magique. Non, franchement, c’est bien plus profond que ça. Le mec a construit une machine de guerre méthodique, et je vais te décortiquer tout ça point par point.
Gestion du risque et position sizing
Bon, déjà, commençons par ce qui fait mal à entendre pour beaucoup : la gestion du risque, c’est 80% de ta performance en trading. Ouais, 80%. Pas tes entrées, pas tes indicateurs fancy, mais comment tu gères ton capital.
Leos Mikulka au Trading Championship, il a appliqué une règle d’or que je répète sans arrêt : jamais plus de 1-2% de risque par trade. Tu vois, le truc c’est que les gens pensent que 300% de performance boursière, ça vient de gros coups. Bah non. C’est l’accumulation de trades bien calibrés avec un position sizing chirurgical.
Ce que Mikulka fait différemment ? Il adapte sa taille de position en fonction de trois critères :
- La volatilité du marché (ATR, écart-types, tu connais)
- La distance au stop-loss (plus c’est loin, plus la position est petite)
- Son niveau de conviction sur le trade (et là, attention, c’est pas de l’émotion, c’est basé sur des backtests)
En fait, le mec utilise une formule de Kelly modifiée. Alors oui, c’est technique, mais en gros : il calcule mathématiquement la taille optimale pour maximiser la croissance du compte tout en évitant la ruine. C’est pas sexy, mais c’est ça qui fait la différence entre un amateur et un pro du Trading Championship.
Analyse technique et fondamentale
Alors là, attention, on va casser un mythe. Tu sais quoi ? Mikulka, il fait pas que de l’analyse technique pure et dure. Non non, le gars mixe les deux approches, et c’est là que ça devient intéressant.
Côté technique, il utilise principalement :
- Les zones de liquidité (ces fameux niveaux où tout le monde a ses stops)
- Les order blocks institutionnels (là où les gros ont accumulé)
- Les break of structure pour confirmer les changements de tendance
- Le volume profile pour identifier les zones de value
Mais voilà le twist : il filtre tout ça avec du fondamental. Genre, il va pas shorter une action juste parce qu’elle a touché une résistance si les earnings sont dans deux jours et que le sentiment est bullish. Tu vois la nuance ?
Ce que j’ai remarqué dans son approche au US Investing Championship, c’est qu’il utilise l’analyse technique pour le timing et le fondamental pour la direction. En gros : le fondamental lui dit quoi trader, le technique lui dit quand. Simple mais diablement efficace.
Stratégie d’entrée et de sortie
Ok, maintenant le moment que tout le monde attend : comment il rentre et sort de ses positions ? Bah écoute, c’est là que la psychologie trading entre vraiment en jeu.
Pour les entrées, Mikulka a une règle d’or : jamais d’entrée sans confluence. Ça veut dire quoi ? Il lui faut minimum trois signaux alignés :
- Un niveau technique clé (support, résistance, OB…)
- Une confirmation de momentum (RSI, MACD, peu importe, mais quelque chose)
- Un contexte de marché favorable (pas de news majeure, volatilité normale)
Mais franchement, ce qui m’impressionne le plus, c’est sa gestion des sorties. Le mec a compris un truc que 90% des traders ratent : la sortie, c’est plus important que l’entrée.
Il utilise ce qu’il appelle la “règle des trois tiers” :
- Premier tiers : il sort à 1R (son risque initial) pour sécuriser
- Deuxième tiers : à 2-3R selon le momentum
- Dernier tiers : il laisse courir avec un trailing stop
Tu vois, c’est pas révolutionnaire, mais c’est cette discipline de fer dans l’exécution qui fait la différence. Pas d’émotion, pas de “oh mais ça peut monter plus”. Non. Plan, exécution, point.
Et le plus beau dans tout ça ? Quand un trade part contre lui, il coupe. Direct. Pas de moyennage à la baisse, pas de “ça va revenir”. Stop touché = on sort. C’est cette gestion du risque implacable qui lui permet de survivre aux mauvaises périodes et d’exploser pendant les bonnes.
Voilà, en fait, ce qui ressort de cette performance boursière exceptionnelle, c’est pas la complexité, c’est la simplicité exécutée à la perfection. Comme je dis toujours : le trading, c’est pas compliqué, c’est juste difficile à bien faire.