Analyse des Trades Réalisés
Alors voilà, cette semaine, franchement, ça a été du sport. Tu vois, le trading hebdomadaire, c’est pas juste regarder les graphiques le lundi et croiser les doigts jusqu’au vendredi. Non, c’est bien plus subtil que ça.
Ce que je veux te montrer aujourd’hui, c’est comment j’ai navigué sur trois marchés complètement différents : le NASDAQ, le DAX et le Bitcoin. Chacun avec ses spécificités, ses pièges, ses opportunités. Et surtout, comment j’ai géré mes positions en temps réel, parce que c’est là que tout se joue.
Entrées sur le NASDAQ
Bon, le NASDAQ cette semaine, c’était vraiment le terrain de jeu parfait pour du trading hebdomadaire. Lundi matin, 14h30 heure de Paris, j’observe une belle compression sur les 15 minutes. Tu sais, ce moment où le marché hésite, où la liquidité s’accumule…
Mon analyse technique me montrait clairement une zone de demand autour des 17 850 points. Pas besoin de te faire un dessin, c’était du textbook : volume en baisse, RSI en divergence haussière, et surtout, on était pile sur la moyenne mobile 50 périodes en H4.
Du coup, entry à 17 852. Stop loss placé juste sous la zone, à 17 820. Pourquoi là ? Parce que si on cassait ce niveau, c’était game over pour mon scénario haussier. Et ça, c’est hyper important : ton stop, c’est pas juste un chiffre random, c’est une invalidation de ton analyse.
Le trade s’est développé nickel pendant deux jours. Mercredi, on touchait les 18 100 points. J’ai sécurisé 50% de ma position là, et j’ai remonté mon stop à breakeven sur le reste. C’est ce que j’appelle de la gestion du risque active. Tu protèges ton capital tout en laissant courir les gains.
Gestion des Positions sur le DAX
Alors le DAX, c’est une autre histoire. Les Allemands, ils rigolent pas avec la volatilité. Mardi, j’ai vu une opportunité short autour des 18 450 points. Le marché venait de faire un faux breakout, tu vois, ce piège classique où tout le monde achète et puis… paf, retournement.
Mon entrée sur le DAX était purement basée sur de l’analyse technique price action. Pas d’indicateurs, juste la lecture pure des bougies. Une belle rejection candle en H1, avec un volume monstre. C’était le signal.
- Short DAX à 18 445 points après faux breakout
- Stop loss initial à 18 490 (45 points de risque)
- Target principal : support à 18 250 points
- Ajustement du stop en trailing après 100 points de gain
Ce qui est crucial dans le trading hebdomadaire sur le DAX, c’est de comprendre les horaires. Entre 9h et 10h, c’est souvent le chaos. Les institutionnels positionnent leurs ordres, la liquidité est énorme. Moi, j’attends toujours que la poussière retombe.
Le trade a touché mon premier target jeudi matin. J’ai pris 75% des profits, et j’ai laissé runner le reste avec un stop loss en trailing. Résultat final : 195 points de gain sur la position principale, et 240 points sur le quart restant. Pas mal pour un seul setup, non ?
Trading sur le Bitcoin
Ah, le Bitcoin… Franchement, cette semaine, c’était le grand n’importe quoi. Tu sais, avec les cryptos en trading hebdomadaire, faut vraiment avoir les nerfs solides. J’ai pris position mercredi soir, après la clôture US.
Le BTC était sur un support majeur à 66 800$. Mon analyse technique me montrait une accumulation depuis trois jours. Les on-chain metrics étaient bullish, les baleines accumulaient. Bref, tous les voyants étaient au vert.
Entry à 66 850$, stop loss à 66 200$. Pourquoi si serré ? Parce que sur le Bitcoin, si ton niveau casse, ça peut partir très vite, très loin. La gestion du risque, c’est encore plus critique ici que sur les indices traditionnels.
Le trade a d’abord bien fonctionné. On est montés jusqu’à 68 200$ jeudi. J’ai déplacé mon stop à breakeven, comme d’hab. Mais vendredi, boom, une news random sur je sais pas quelle régulation, et on se prend un wick down jusqu’à 66 500$. Mon stop a sauté, mais au moins, je suis sorti à zéro.
C’est ça le Bitcoin en trading hebdomadaire : t’as beau avoir la meilleure analyse du monde, un tweet peut tout foutre en l’air. D’où l’importance d’avoir toujours, mais alors toujours, un stop loss béton et une gestion du risque irréprochable.