Configuration du bot de trading
Alors voilà, la question qu’on me pose tout le temps : “Comment tu configures ton bot trading pour générer ces fameux 15k par mois ?” Bah franchement, c’est pas si compliqué que ça en a l’air, mais attention hein, chaque détail compte. Ce que je veux dire c’est que le trading de liquidité passive, c’est pas juste appuyer sur un bouton et attendre que l’argent tombe.
Tu vois, mon bot, c’est comme une voiture de course. Tu peux avoir la meilleure caisse du monde, si tu la règles mal, elle va finir dans le mur. Et crois-moi, j’en ai explosé des comptes avant de comprendre ça. Donc on va prendre le temps de bien décortiquer tout ça ensemble.
Paramètres essentiels de configuration
Ok, alors les bases du trading automatisé. Mon bot, il tourne sur une logique très simple : il place des ordres autour du prix du marché pour capturer la volatilité. Mais le truc c’est que les paramètres, c’est là où tout se joue.
Premièrement, le spread. Moi je tourne entre 0.10% et 0.20% selon la liquidité crypto de la paire. Sur BTC/USDT par exemple, je suis plutôt à 0.15%. Pourquoi ? Bah parce que trop serré, tu te fais massacrer par les fees. Trop large, tu rates des opportunités. C’est comme en voiture, tu veux pas rouler en première sur l’autoroute, mais tu vas pas non plus démarrer en cinquième.
- Spread optimal : 0.10% à 0.20% selon la volatilité
- Nombre d’ordres : grilles de 20 à 50 positions
- Allocation par ordre : 2% à 3% du capital total
- Rafraîchissement : toutes les 4 à 6 heures
- Paires privilégiées : majors avec volume > 100M$/jour
Ensuite, le nombre d’ordres dans ta grille. Franchement, j’ai testé de tout. 10 ordres, 100 ordres… Aujourd’hui je tourne sur du 20 à 50 selon les paires. Plus t’as d’ordres, plus tu captures de micro-mouvements, mais attention aux frais de CEX trading qui peuvent te bouffer ta marge.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que chaque ordre doit avoir sa propre allocation. Moi je mets jamais plus de 2-3% de mon capital par position. Pourquoi ? Parce que si ça part en vrille sur une position, bah tu perds pas tout. C’est de la gestion risque trading de base, mais tu serais surpris du nombre de mecs qui balancent 20% sur un ordre et qui pleurent après.
Le timing de rafraîchissement aussi c’est crucial. Mon bot recalcule et replace ses ordres toutes les 4 heures environ. Trop souvent, tu payes des fees pour rien. Pas assez souvent, tu rates des opportunités. C’est un équilibre à trouver, et ça dépend vraiment de ta stratégie de trading de liquidité passive.
Gestion des risques et stop-loss
Alors là, on rentre dans le dur. La gestion risque trading, c’est ce qui fait la différence entre un mec qui tient 6 mois et un mec qui génère des revenus constants depuis 3 ans comme moi. Et franchement, j’ai mis du temps à le comprendre.
Mon système de stop-loss, il est en trois couches. Ouais, trois. Pourquoi ? Parce qu’un seul stop-loss, c’est comme conduire sans ceinture ET sans airbag. Tu vois, la première couche, c’est au niveau de chaque ordre individuel. Si une position perd plus de 2%, hop, elle se coupe automatiquement.
La deuxième couche, c’est au niveau de la grille complète. Si l’ensemble de mes positions ouvertes perdent plus de 5% sur une paire, le bot arrête tout et attend. C’est comme ça que j’évite les spirales négatives quand le marché devient trop directionnel.
- Stop-loss individuel : -2% par position
- Stop-loss grille : -5% sur l’ensemble des positions
- Stop-loss global : -10% du capital journalier
- Pause automatique : après 3 stops consécutifs
- Reprise manuelle : analyse obligatoire avant redémarrage
Et la troisième couche, c’est le stop-loss global du compte. Si je perds plus de 10% en une journée, tout s’arrête. Le bot trading se met en pause, et là c’est moi qui reprends la main pour analyser ce qui s’est passé. Parce que tu vois, quand ça dérape à ce point, c’est souvent qu’il y a un problème plus profond.
Un truc super important aussi, c’est la corrélation entre les paires. Si tu fais du trading automatisé sur ETH/USDT et BTC/USDT en même temps, bah quand le marché chute, tu prends double tarif. Donc moi je diversifie : une paire crypto majeure, une paire forex si mon CEX le permet, et parfois un indice.
Ce que les gens captent pas, c’est que la gestion risque trading c’est pas juste mettre des stop-loss. C’est aussi savoir quand NE PAS trader. Mon bot, il a des conditions de marché où il refuse de placer des ordres. Volatilité trop forte ? Il attend. Volume trop faible sur la liquidité crypto ? Il attend. News majeure dans l’heure qui vient ? Il attend.
Et franchement, cette patience forcée du trading de liquidité passive, c’est ce qui m’a sauvé plus d’une fois. Tu vois, avant j’étais du genre à vouloir être toujours dans le marché. Résultat ? Je me faisais défoncer à chaque grosse annonce de la Fed ou à chaque tweet d’Elon. Maintenant, mon bot sait quand c’est le moment de se mettre sur le côté et d’observer.