Trading SPY SPX : Ma Stratégie Complète pour Trader les Indices US

Indicateurs Techniques Clés

Bon, alors on va parler des indicateurs techniques pour le trading SPY SPX, mais attention hein, c’est pas juste une histoire de cocher des cases. Tu vois, pendant des années, j’ai cru que plus j’avais d’indicateurs sur mon écran, plus j’étais un bon trader. Grosse erreur. En fait, c’est l’inverse.

Ce que j’utilise aujourd’hui pour mon analyse technique, c’est vraiment l’essentiel. D’abord, les moyennes mobiles, mais pas n’importe lesquelles. La EMA 9 et la EMA 21, ça c’est mon duo de base. Pourquoi ces deux-là ? Bah tout simplement parce qu’elles captent bien le momentum à court terme sur le SPY, et franchement, c’est suffisant pour voir où on en est dans la tendance.

Ensuite, le RSI, mais pas comme tout le monde l’utilise. Moi je le regarde surtout pour les divergences. Quand le prix fait un nouveau plus haut mais que le RSI fait un plus bas, là tu sais que quelque chose cloche. C’est ce genre de signal qui m’a sauvé plus d’une fois sur des retournements violents du SPX.

Le Volume Profile, ça c’est mon arme secrète pour identifier les vraies zones de liquidité. Tu vois cette grosse barre horizontale sur ton graphique ? Bah c’est là que les institutionnels ont posé leurs ordres. Et devine quoi ? C’est exactement là que le prix va réagir.

  • EMA 9 et 21 pour suivre la tendance immédiate
  • RSI principalement pour les divergences, pas les zones 30/70
  • Volume Profile pour identifier les vraies zones d’intérêt institutionnel
  • VWAP comme référence de prix moyen pondéré

Le VWAP, alors lui c’est particulier. Sur le trading SPY SPX, c’est comme ton GPS. Au-dessus du VWAP, t’es dans une dynamique haussière intraday, en dessous, c’est bearish. Simple, efficace, et ça marche dans 80% des cas.

Setup du Trade Perfect

Alors le setup trading parfait, laisse-moi te dire un truc : il existe pas. Mais j’ai quand même un pattern qui revient souvent et qui me fait gagner régulièrement. C’est ce que j’appelle mon “triple check”.

Premier check : on est sur un niveau clé identifié la veille. Ça peut être un pivot, une résistance devenue support, peu importe, mais c’est un niveau qui a du sens. Deuxième check : j’ai une confluence d’au moins deux indicateurs boursiers. Par exemple, on touche la EMA 21 pile au moment où le RSI sort de survente. Troisième check : le volume confirme. Si je vois une bougie de retournement avec du volume au-dessus de la moyenne, là je commence à m’intéresser sérieusement.

Ce qui fait la différence, c’est pas le setup en lui-même, c’est comment tu le gères après. J’ai vu des mecs avec des setups parfaits qui perdaient quand même parce qu’ils savaient pas gérer leur position. Moi, dès que j’entre, mon stop est placé, mon target est défini, et je touche plus à rien.

Un exemple concret ? La semaine dernière, SPY teste les 440, rebond sur la EMA 21, RSI en divergence haussière, volume qui explose. Setup classique. J’entre, stop à 439, target à 443. Simple, propre, efficace. 3 points en 2 heures, merci au revoir.

Gestion des Stop Loss

La gestion du risque, c’est vraiment là où 90% des traders se plantent. Tu sais quoi ? Mon premier compte, je l’ai cramé en trois mois. Pourquoi ? Pas de stops, ou alors des stops mentaux que je bougeais dès que ça tournait mal. Aujourd’hui, c’est fini ce délire.

Ma règle numéro un : le stop est placé AVANT l’entrée. Je calcule mon risque, je place mon stop, et seulement après j’entre. Si le setup nécessite un stop trop large par rapport à mon risk management, je passe mon tour. C’est aussi simple que ça.

Sur le SPY, mes stops sont généralement entre 0.5% et 1% du prix. Ça peut paraître serré, mais avec le momentum trading que je pratique, si ça part pas dans mon sens rapidement, c’est que j’ai tort. Point barre.

  • Stop systématique placé avant l’entrée en position
  • Distance du stop : 0.5% à 1% maximum sur SPY/SPX
  • Jamais de déplacement du stop dans le sens défavorable
  • Stop suiveur activé après +1R de gain

Le trailing stop, c’est mon meilleur ami une fois que le trade est en profit. Dès que j’ai +1R (une fois mon risque initial), je remonte mon stop au breakeven. Comme ça, au pire je sors à zéro. Ensuite, je laisse courir avec un trailing à 0.3% en dessous des derniers plus hauts. Ça me permet de capturer les gros mouvements tout en protégeant mes gains.

Ce que les gens comprennent pas, c’est que le stop loss c’est pas une défaite, c’est une protection. C’est comme la ceinture de sécurité en voiture. Tu la mets pas parce que tu comptes avoir un accident, tu la mets parce que si ça arrive, elle te sauve la vie. Pareil en trading.

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