Analyse de la Supply et Demand
Alors voilà, ce que beaucoup captent pas avec le Trading Supply Demand Nasdaq, c’est que c’est pas juste des rectangles sur un graphique hein. C’est vraiment comprendre où les gros volumes se sont positionnés, où ils ont laissé leurs empreintes. Tu vois, sur le Nasdaq 100, ces zones, elles parlent. Elles te racontent une histoire de bataille entre acheteurs et vendeurs.
Franchement, j’ai mis des années à vraiment saisir la puissance de cette approche. Au début, je traçais des zones de trading partout, c’était le bazar total sur mes charts. Mais en fait, le truc c’est que tu dois être hyper sélectif. Pas toutes les zones se valent, et ça, c’est crucial à comprendre.
Identification des Zones Clés
Bon alors, pour identifier les vraies zones de supply et demand sur le Nasdaq, faut d’abord que tu comprennes le concept de base. Une zone de demand, c’est là où les acheteurs ont montré leur force, où ils ont dit “stop, on reprend le contrôle”. À l’inverse, la supply, c’est là où les vendeurs ont dominé.
Ce que je fais concrètement, c’est que je cherche les mouvements explosifs. Tu vois ce grand chandelier vert qui part d’un coup ? Bah voilà, la base de ce chandelier, c’est potentiellement ta zone de demand. Mais attention hein, c’est pas si simple que ça.
- Les zones fraîches (non testées) sont généralement plus fiables
- Plus le mouvement est violent après la zone, plus elle est significative
- Les zones sur timeframes supérieurs (4H, Daily) ont plus de poids
- La confluence avec d’autres niveaux techniques renforce la zone
Sur le Nasdaq 100 spécifiquement, j’ai remarqué que les zones autour des chiffres ronds psychologiques (15000, 15500, 16000…) ont tendance à être plus réactives. C’est pas une règle absolue, mais c’est un pattern que j’ai observé sur des centaines de trades.
Du coup, ma méthode, c’est vraiment de partir du weekly, identifier les grosses structures, puis descendre progressivement. Weekly → Daily → 4H → et enfin le 1H pour affiner. C’est comme ça que tu évites de te perdre dans le bruit du marché.
Techniques de Confirmation des Niveaux
Alors là, on rentre dans le vif du sujet. Parce que tracer des zones, franchement, tout le monde peut le faire. Mais savoir si ta zone va tenir, c’est là que ça devient intéressant. Le price action, c’est ton meilleur ami pour ça.
Première chose que je regarde : comment le prix arrive sur ma zone ? S’il arrive en panique, avec des grosses bougies rouges, bah y’a plus de chances que la demand tienne. Pourquoi ? Parce que les vendeurs sont déjà épuisés, ils ont tout donné.
Ensuite, et ça c’est hyper important, je surveille la réaction initiale. Tu vois, quand le prix touche ta zone, s’il rebondit direct avec volume, c’est bon signe. Mais si ça stagne, si ça consolide mollement… méfiance.
- Le test de volume : Plus le volume augmente sur le rebond, plus la zone est validée
- Les patterns de chandeliers : Pin bar, engulfing, hammer… ces signaux renforcent la zone
- La structure du marché : Est-ce qu’on casse des highs/lows importants ?
- Le contexte général : News, sentiment de marché, corrélations avec les autres indices
Ce que beaucoup oublient, c’est que le Nasdaq 100 est super sensible aux news tech. Donc même ta meilleure zone de demand, si Apple sort des résultats catastrophiques, elle peut se faire transpercer comme du beurre. C’est pour ça que je check toujours le calendrier économique avant de trader mes zones.
Un truc que j’ai appris à mes dépens : ne jamais trader une zone sur sa première touche pendant les premières 30 minutes après l’ouverture US. Le marché est trop volatile, trop de faux signaux. Attends que ça se calme un peu.
Gestion du Risk Management
Bon alors là, on touche au cœur du problème. Tu peux avoir les meilleures zones du monde, si ton risk management est pourri, tu vas te faire défoncer. C’est mathématique.
Ma règle d’or sur le Trading Supply Demand Nasdaq : jamais plus de 1% de risque par trade. Jamais. Même si la zone te paraît parfaite, même si t’es sûr à 200%. Pourquoi ? Parce que le Nasdaq, ça peut bouger très vite, très fort.
Comment je calcule mon stop ? C’est simple, je le mets toujours derrière la zone, avec un buffer. Sur le Nasdaq, je rajoute généralement 20-30 points de buffer. Ça peut paraître beaucoup, mais crois-moi, les fausses cassures, c’est monnaie courante.
Ce que j’ai appris aussi, c’est qu’il faut adapter ton risk au contexte. En trend fort, tu peux être un peu plus agressif sur tes entries. En range, tu réduis, tu trades plus serré. Le Nasdaq 100 en particulier, il alterne entre des phases de trend puissantes et des consolidations violentes.
Et franchement, le plus dur dans le risk management, c’est pas les maths. C’est la discipline. Combien de fois j’ai voulu moyenner à la baisse sur une zone qui lâchait… Grosse erreur. Si ta zone lâche, tu sors, point. Tu re-évalueras après.
Dernière chose super importante : le journaling. Note chaque trade, chaque zone, pourquoi elle a marché ou pas.