Les aspects techniques du trading
Bon, les gars, maintenant qu’on a parlé de la psycho et du money management, on va entrer dans le concret, la technique pure. Parce que franchement, tu peux avoir la meilleure psychologie du monde, si t’as pas une stratégie solide, bah… c’est comme avoir une Ferrari sans savoir conduire, tu vois?
J’ai passé des milliers d’heures devant les charts, j’ai testé pratiquement toutes les stratégies possibles, et je reviens toujours aux bases. Pourquoi? Parce que le marché, il reflète les comportements humains, et ces comportements, ils changent pas tant que ça au final.
Comprendre les FVG et les zones de liquidité
Alors les FVG (Fair Value Gap), c’est quoi exactement? Imagine une zone sur ton graphique où le prix a bougé tellement vite qu’il a laissé un “vide”. C’est comme si t’avais une conversation, et d’un coup, y’a un blanc. Ce blanc, dans le trading, c’est un FVG.
Le truc puissant avec les FVG, c’est que le marché aime revenir combler ces zones. Je dis pas que ça marche 100% du temps – rien ne marche tout le temps en trading – mais quand tu combines ça avec d’autres confirmations, tu obtiens des entrées vraiment précises.
Regardons maintenant les zones de liquidité. C’est là que ça devient intéressant pour le trading en direct. Ces zones, c’est là où se trouvent les stops des traders. Et devine quoi? Les gros acteurs du marché adorent chasser ces stops avant de partir dans la direction qu’ils veulent vraiment.
C’est comme un jeu de poker. Tu bluffes d’abord pour faire sortir les petits joueurs, puis tu fais ton vrai coup. Sur les charts, ça se traduit souvent par un mouvement rapide au-dessus d’une résistance ou en-dessous d’un support, suivi d’un retournement fort.
Pendant notre événement de trading en direct, on a vu plusieurs fois ce schéma se répéter. Les participants qui ont su repérer ces zones ont pu entrer dans des trades avec un excellent rapport risque/récompense, parfois du 1:5 voire plus.
L’utilisation des alertes et des indicateurs
Je sais que beaucoup d’entre vous aiment les indicateurs. Mais attention, un indicateur, c’est juste un outil, pas une stratégie complète. J’utilise moi-même quelques indicateurs clés, mais toujours comme confirmation, jamais comme signal primaire.
Les alertes, par contre, c’est un game-changer pour le trading en direct. Écoute, on peut pas rester 24h/24 devant les écrans, c’est juste pas viable – et crois-moi j’ai essayé, ça m’a coûté mon équilibre mental.
Je configure des alertes sur des niveaux précis, généralement autour des zones FVG ou de liquidité qu’on a identifiées. Comme ça, quand le prix arrive dans ces zones, je reçois une notification et je peux me connecter pour analyser la situation en temps réel.
Ce que j’ai remarqué pendant notre session de trading en direct, c’est que les traders qui utilisent trop d’indicateurs finissent par être paralysés. Ils attendent toujours une configuration “parfaite” qui, franchement, n’arrive presque jamais.
À l’inverse, ceux qui se concentrent sur quelques éléments clés – structure du marché, FVG, zones de liquidité – et qui utilisent les alertes intelligemment, réagissent plus vite et saisissent les opportunités quand elles se présentent.
Un exemple concret: pendant notre événement, on a repéré un FVG important sur l’EUR/USD. J’ai placé une alerte, et quand le prix est revenu tester cette zone, on a pu entrer collectivement. Résultat: plus de 70% des participants ont pris des pips sur ce trade.
C’est ça le trading en direct: observer, analyser ensemble, et agir au bon moment avec une stratégie claire. Pas besoin de 50 indicateurs ou de systèmes compliqués. La simplicité, associée à une bonne lecture du marché, c’est souvent ce qui fonctionne le mieux.
