Le scalping
Alors, parlons scalping. Franchement, c’est peut-être ma stratégie favorite en trading en direct, et pour cause. Le scalping, c’est l’art de prendre des positions très courtes pour capturer de petits mouvements de prix.
Tu vois, quand je fais du scalping sur le gold ou les indices boursiers, je ne cherche pas à prédire les tendances sur plusieurs jours. Non, je veux juste gratter 10, 20, parfois 50 pips et sortir. C’est rapide, c’est intense, mais ça peut être vraiment rentable si t’es discipliné.
Lors de mes sessions de trading en direct, je montre souvent comment je repère ces opportunités. Par exemple, sur le gold aujourd’hui, j’ai identifié une zone de support clé avec un niveau Fibonacci qui coïncidait parfaitement avec un ancien niveau de résistance. Bam ! Un point d’entrée idéal pour un scalp.
Ce que beaucoup de traders comprennent pas, c’est que le scalping demande une concentration extrême. Tu peux pas te permettre de regarder ton téléphone ou de répondre à des emails pendant que tu trades. Il faut être à 100% focus sur les charts, tout le temps.
Une règle d’or que je respecte toujours : je définis mes TP (Take Profit) et SL (Stop Loss) avant d’entrer dans une position. En scalping, ton ratio risque/récompense est souvent plus serré, donc ta précision doit être chirurgicale.
Quand je fais du trading en direct avec ma communauté, j’insiste toujours sur le fait que le scalping n’est pas pour tout le monde. Si t’as pas une bonne connexion internet, un broker fiable avec des spreads serrés et surtout une maîtrise émotionnelle en béton, tu vas galérer.
Mais pour ceux qui maîtrisent cette approche, c’est une façon incroyable d’exploiter la volatilité intraday sans rester exposé aux risques nocturnes ou aux gaps d’ouverture. Et ça, dans le contexte économique actuel, c’est un avantage considérable.
La stratégie OPR
Maintenant, attaquons-nous à une stratégie que j’utilise énormément dans mes sessions de trading en direct : l’OPR, ou Order Block, Premium, Rejection. C’est une approche qui combine plusieurs concepts de price action et franchement, elle peut changer ta vision du marché.
L’OPR, c’est pas juste une stratégie, c’est une façon de lire le marché. Tu vois, quand je regarde un chart, je cherche pas des figures classiques comme les têtes-épaules ou les doubles tops. Non, je cherche où les gros acteurs du marché placent leurs ordres.
La première étape, c’est d’identifier les Order Blocks. Ce sont des zones où les institutions ont placé des ordres significatifs qui ont provoqué un changement de direction du marché. Sur le gold par exemple, les OB sont souvent visibles après une forte bougie impulsive.
Ensuite, le Premium. C’est cette zone où le prix revient “faire ses courses” avant de continuer sa tendance. En gros, le marché crée une petite inefficience qu’il doit corriger. C’est exactement là que je me prépare pour un trade potentiel.
Enfin, la Rejection. C’est le moment de vérité, quand le prix réagit au Premium et montre des signes de rejet. Là, j’entre en position avec un stop serré, généralement au-delà de la zone d’Order Block.
Ce que j’aime avec l’OPR en trading en direct, c’est sa cohérence. Une fois que t’as l’œil pour repérer ces structures, tu les vois partout, que ce soit sur le gold, les indices boursiers, ou n’importe quel actif liquide.
Par exemple, ce matin pendant notre session live, j’ai spotté un OPR parfait sur l’EUR/USD juste avant l’annonce du chômage. J’ai placé mon ordre, défini mon SL et mon TP, et j’ai laissé le marché faire son travail. Résultat : +65 pips en moins de 20 minutes.
Attention quand même ! L’OPR demande de la pratique. Au début, tu vas probablement identifier des faux signaux. C’est normal. C’est pour ça que dans ma formation trading, j’insiste sur l’importance de backtester cette stratégie avant de l’utiliser avec de l’argent réel.
Et tu sais quoi ? C’est exactement ce genre de stratégie qui te rend autonome en tant que trader. Tu dépends plus des signaux des autres ou du copy trading. Tu développes ta propre lecture du marché.
Time frames et points d’entrée
Maintenant, parlons d’un sujet crucial pour tout trader qui se respecte : les time frames et les points d’entrée. C’est peut-être le truc le plus important en trading en direct, et pourtant c’est là que la plupart des débutants se plantent complètement.
Voilà comment j’approche ça. D’abord, je commence toujours par scanner les marchés sur les grands time frames. Je parle du Daily et du 4H. Pourquoi ? Parce que c’est là que tu vois la vraie direction du marché, les tendances majeures. C’est ton GPS en quelque sorte.
Une fois que j’ai identifié la tendance globale, je descends sur le 1H et le 30 minutes pour trouver des zones potentielles d’entrée. C’est là que j’applique mes niveaux Fibonacci, que je cherche mes Order Blocks et que je trace mes zones d’intérêt.
Quand je fais du scalping sur l’or ou les indices boursiers, je vais encore plus bas, sur le 5 minutes ou même le 1 minute pour l’exécution. Mais attention, je ne prends jamais une décision basée uniquement sur ces petits time frames ! C’est le piège numéro un des débutants.
Pour les points d’entrée, j’ai une règle d’or : j’entre uniquement quand j’ai une confirmation. Pas avant. Par exemple, si j’ai identifié une zone de support sur le gold avec un retracement Fibonacci à 61.8%, je ne vais pas placer un ordre à l’aveugle. Non, j’attends de voir une bougie de retournement, un rejet clair.
Et tu sais ce qui est dingue ? Dans mes sessions de trading en direct, je vois souvent des traders qui ont identifié les mêmes zones que moi, mais qui entrent trop tôt ou trop tard. La différence entre gagner et perdre se joue souvent à quelques minutes près.
Un truc que j’ai appris avec l’expérience : parfois, le meilleur trade, c’est celui que tu ne prends pas. Si je vois que le marché est trop volatile ou que les signaux sont contradictoires, je reste en dehors. La patience est une arme redoutable en trading.
J’insiste aussi sur l’importance de respecter les heures de trading. Pour le forex et les indices, j’évite généralement les périodes de faible liquidité. Pour le gold, j’adore trader pendant le chevauchement des sessions européenne et américaine, quand la volatilité est optimale.